Loupet le Chien (Le) (Fable de Jean de La Fontaine) Tant les chiens faisaient bonne garde. Gras, poli , qui s'était fourvoyé par mégarde. A se défendre hardiment. Sur son embonpoint, qu'il admire. D'être aussi gras que moi, lui répartit le chien. Dont la condition est de mourir de faim. Leventre à terre comme seuls les chats, les chiens Peuvent le faire certains matins, Pour attraper leur proie Le fermier, le regard au loin, surveillait Godefroy Qu’il avait appelé comme cela, parce qu’il croyait Le pauvre que c’était un mâle Le loup avait la dalle Et s’apprêtait à sauter Il faut dire que le vieux fermier Lechat et l’oiseau. par Jacques Prévert. Un village écoute désolé Le chant d’un oiseau blessé C’est le seul oiseau du village Et c’est le seul chat du village Qui l’a à moitié dévoré. Nous dormirons ensemble. par Louis Aragon. Que ce soit dimanche ou lundi Soir ou matin minuit midi Dans l’enfer ou le paradis Les amours aux amours ressemblent C’était hier que je t’ai Voiciles propositions que j’ai reçues concernant les animaux en poésie : ANOUILH, Fables (1946). ANOUILH, « Napoléon et la puce ». APOLLINAIRE, « La colombe poignardée ». APOLLINAIRE, Le Bestiaire, ou le Cortège d’Orphée. BAUDELAIRE, « Une charogne », « L’albatros », « Le cygne », « Les chats ». BENSERADE Isaac de, « Madame, je vous donne un oiseau pour LittératureŒuvres classiques Poésie Théâtre Voir tout. Livres ados. Livres ados Romans Livres dont vous êtes le héro Voir tout. BD. BD BD science-fiction BD fantasy BD Policier & Thriller BD action & aventures Romans graphiques BD jeunesse Voir tout. Mangas. Mangas Shonen Seinen Shojo Kodomo Voir tout. Comics. Comics Comics super-héros Comic strip Comics adaptation Poésied'hier / Le Loup et le Chien Le Loup et le Chien par Jean de la FONTAINE Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. Unetrès belle histoire sur l'amitié, les différences et le partage. Chaque double page présente le texte sur la gauche et un dessin sur la droite. Les couleurs sont chaleureuses, le trait simple. Chat et Chien sont tout noirs, leurs yeux blancs pétillent, comme leurs idées et leur complicité. Et moi ce que j'adore, c'est le fil rouge Leloup et l’agneau: Esope: Le corbeau et le fromage Esope: La cigale et les fourmis: Esope: La cigale et le hanneton: Esope: Le Berger et la mer: Jean de La Fontaine: La cigale et la fourmi . Jean de La Fontaine. Le corbeau et le renard . Jean de La Fontaine. La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf . Jean de La Fontaine lepanda : fiches, affiche et questionnaire: le loup : fiches, arts visuels, travail à partir d'albums: le chat (résumé) le chien (résumé pour les enfants ) l'abeille : Des connaissances sur l'abeille, des abeilles en volume, une chanson : Math : dénombrement : plusieurs fiches de dénombrement avec les musiciens de Brême (âne, chien Lechat, le loup et le chien, Maxime Lery Au cours du XXème siècle (en 1937) Maxime Lery fait paraître une fable nommée Le Chat, le loup et le chien dans son recueil de fables à l'instar des oeuvres d'Esope, Phèdre ou encore Jean de la Fontaine. Ce texte, ici soumis à notre étude se présente comme une véritable réécriture originale 8Siln. Un loup maigre et affamé demande à un chien bien en chair ce qu'il faut faire pour être aussi bien portant. Le chien lui dit de servir un humain il aura ainsi à manger. Mais le loup voit que le chien porte une blessure au cou, à cause du collier. Le loup renonce à se soumettre aux hommes et regagne le bois. Un Loup n'avait que les os et la peau,Tant les chiens faisaient bonne Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,Gras, poli, qui s'était fourvoyé par le mettre en quartiers,Sire Loup l'eût fait volontiers ;Mais il fallait livrer bataille,Et le Mâtin était de tailleÀ se défendre Loup donc l'aborde humblement,Entre en propos, et lui fait complimentSur son embonpoint, qu'il admire. Il ne tiendra qu'à vous beau sire,D'être aussi gras que moi, lui repartit le les bois, vous ferez bien Vos pareils y sont misérables,Cancres, hères, et pauvres diables,Dont la condition est de mourir de quoi ? rien d'assuré point de franche lippée ;Tout à la pointe de l' vous aurez un bien meilleur destin. »Le Loup reprit Que me faudra-t-il faire ?- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gensPortants bâtons, et mendiants ;Flatter ceux du logis, à son Maître complaire Moyennant quoi votre salaireSera force reliefs de toutes les façons Os de poulets, os de pigeons,Sans parler de mainte caresse. »Le Loup déjà se forge une félicitéQui le fait pleurer de faisant, il vit le col du Chien pelé. Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de Mais encore ? - Le collier dont je suis attachéDe ce que vous voyez est peut-être la Attaché ? dit le Loup vous ne courez donc pasOù vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?- Il importe si bien, que de tous vos repasJe ne veux en aucune sorte,Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor. La morale n'est pas explicite dans cette fable, mais les symboles et le message de La Fontaine est assez clair Le loup symbolise la nature à l'état sauvageLe chien symboliser la nature domestiquéeCe sont deux mondes que tout oppose le loup est maigre, le chien est bien nourri, le chien est pauvre, le chien est riche... Mais La Fontaine nous dit-il ici qu'il vaut mieux être comme le chien ?Certes non, car le chien est blessé, à cause du collier qu'il porte. Le collier représente la servitude ici du chien à l'homme mais plus généralement de l'homme à quelconque autre homme ou gouvernement.Ainsi, le chien est riche et bien nourri, mais il est enchaîné, tandis que le loup maigre et affamé est libre de tous mouvements. Il court encore dans les bois pour préserver sa liberté, le bien le plus cher, plus précieux que tous les ne voudrais pas même à ce prix un trésor. »Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court morale de la fable se résume ainsi mieux vaut être pauvre, affamé et libre que riche, bien nourri mais esclave. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Quelle est la morale de la fable "Le Loup et le Chien", nous vous recommandons de consulter la catégorie Formation. Le Loup et le Chien par Jean de la FONTAINE Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le Mâtin était de taille A se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. " Il ne tiendra qu'à vous beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien Vos pareils y sont misérables, Cancres, haires, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assuré point de franche lippée Tout à la pointe de l'épée. Suivez-moi vous aurez un bien meilleur destin. " Le Loup reprit "Que me faudra-t-il faire ? - Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son Maître complaire Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse. " Le Loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé. " Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. " Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor. Les Fables, Livre I Poème posté le 26/05/16 par Rickways Poète Un Loup n’avait que les os et la peau,Tant les Chiens faisaient bonne Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau ;Gras, poli, qui s’était fourvoyé par le mettre en quartiers,Sire Loup l’eût fait il fallait livrer bataille ;Et le Mâtin était de tailleA se défendre Loup donc l’aborde humblement,Entre en propos, et lui fait complimentSur son embonpoint qu’il admire Il ne tiendra qu’à vous, beau Sire,D’être aussi gras que moi, lui repartit le les bois, vous ferez bien Vos pareils y sont misérables,Cancres, hères, et pauvres diables,Dont la condition est de mourir de quoi ? Rien d’assuré ; point de franche lippée ;Tout à la pointe de l’ ; vous aurez bien un meilleur Loup reprit Que me faudra-t-il faire ?Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gensPortants bâtons, et mendiants ;Flatter ceux du logis ; à son Maître complaire ;Moyennant quoi votre salaireSera force reliefs de toutes les façons ;Os de poulets, os de pigeons Sans parler de mainte Loup déjà se forge une félicitéQui le fait pleurer de faisant il vit le col du Chien là, lui dit-il ? Rien. Quoi rien ? Peu de encor ? Le collier dont je suis attachéDe ce que vous voyez est peut-être la ? dit le Loup, vous ne courez donc pasOù vous voulez ? Pas toujours ; mais qu’importe ?Il importe si bien, que de tous vos repasJe ne veux en aucune sorte ;Et ne voudrais pas même à ce prix un dit, Maître Loup s’enfuit, et court encore.

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