Lesétapes de ma guérison. La première étape que j’ai (re)mise en place c’est de ne plus consommer de produits animaux : pas de produits laitiers, pas de viandes, plus de poissons, un tout petit peu d’oeufs (de préférence très peu cuit pour conserver les bienfaits). La viande notamment est très acidifiante, c’est-à -dire qu
Evidemmentqu'elle panique à l'idée de rencontre les parents de Vice. C'est normal non ? Elle n'a jamais rencontré les parents d'un petit ami. Ou comme là , en l'occurrence, d'un plan cul. Mais Vice a été clair. Ses parents ne savent rien de leur relation aussi tordue puisse-t-elle être. Ce qui est un bon point en fait. Il faut qu'elle arrête de se mettre la rate au court bouillon pour
Dèslors que la pension de réversion n'est plus révisable, aucun évènement de quelque nature que ce soit ne sera susceptible de la modifier. Ainsi, si vous reprenez une vie de couple, à ce
Ilnous faut consentir à cette autre mort qui se joue en nous, cette mort bien plus éprouvante que la mort physique. Car il n’y a pas de résurrection sans passion, pas de vie sans passer par la mort, pas de vraie paix sans avoir vaincu sa propre haine, ni de joie sans avoir traversé la tristesse. Et pour dire cela, pour dire cette lente
Ilest préférable de dire par exemple : « Papa, je suis inquiet pour toi. Je suis chagriné de te voir comme ça. » La majorité des parents ne souhaitent pas devenir un poids pour leurs enfants. Votre proche réagira mieux à l’évocation de la vie en maison de retraite, si vous exprimez sincèrement vos propres inquiétudes.
Voiciles quatre arnaques les plus courantes. 1) Votre téléphone sonne une seule fois, et vous n’avez pas le temps de décrocher. Il affiche un appel en absence. Vous êtes tenté de rappeler
Cequ'on regrette, c'est la partie de nous-mĂŞme qui s'en va avec elles. Lucia Etxebarria de Asteinza , Amor, curiosidad, prozac y dudas. 81. Woody Allen : - Mon seul regret dans la vie, c'est de ne pas ĂŞtre quelqu'un d'autre. Francis Dannemark : - Mon seul regret dans la vie, c'est de ne pas ĂŞtre Woody Allen.
10) Le manque de soutien. Un manager n’est pas quelqu’un qui commande et contrôle, prends les responsabilités et les sous à la fin du mois. Un manager, c’est avant tout quelqu’un qui est là pour ses équipes, pour les supporter, les épauler, les aider à grandir et passer les étapes difficiles.
Bonjour Je m'appelle Marie et j'ai 23 ans. Je voudrais changer ma vie mais je ne sais pas ce que je veux. On va faire le tour de ma vie; d'abord les etudes. Je vais normalement valider mon bac+5 dans quelques mois, je suis pour l'instant à l'étranger, j'ai encore pas mal de choses à faire pour avoir mon diplome et ça me gonfle; mais d'un autre coté j'ai un peu peur
Bonsoir j’ai besoin d’avis Voilà il y’a peu, un soir j’ai bu avec une amie après être un peu pompette elle me propose
PZVojZ. Ecoutez attentivement les nouvelles du matin. Que disent-elles ? A de rares exceptions, il ne s’agit que d’accidents, de décès, de catastrophes, de difficultés, de tension. Elles ne véhiculent que de la lourdeur psychique ! On nous fait très rarement part de bonnes nouvelles qui nous inspireraient, nous tireraient vers le haut, nous donneraient envie de fournir le meilleur de nous même et de nous dépasser pour autrui… Le conditionnement médiatique a un effet pervers car il agit comme des suggestions hypnotiques à force d’entendre répéter encore et encore des messages négatifs, nous finissons par les intégrer au niveau inconscient et nous y réagissons émotionnellement par une forme d’abattement. Faites l’expérience pendant un mois, éteignez votre télévision, éteignez votre radio, cessez de lire les journaux et regardez si,premièrement le monde s’en porte plus mal et deuxièmement, si vous n’allez pas mieux... Qu’on soit clair ce n’est pas faire la politique de l’autruche. En effet, si toutes ces informations négatives vous poussaient concrètement à l’action pour que les choses changent vous engager politiquement ou au niveau associatif, donner de votre temps pour défendre une cause… etc, alors oui, ces informations auraient un impact positif elles vous permettraient de vous mettre en mouvement. Mais que se passe-t-il en réalité ? Que faisons nous de ces informations ? Rien. Ou presque. Elles ne font que se déposer en nous, consciemment et inconsciemment, sans que nous puissions y faire quoi que ce soit. Que se passe-t-il alors ? Comme nous ne pouvons agir concrètement sur les affaires du monde, toutes ces nouvelles catastrophiques induisent en nous, jour après jour, un sentiment d’impuissance, nous donnant une impression de perte de contrôle et de fatalité. Triste résultat, n’est-ce pas ? Comprenez alors que vous avez réellement le pouvoir de bloquer le flot chaotique de ces informations fait, à vouloir, à tout prix, être au courant » des affaires du monde, on se trouve happé et on se déconnecte émotionnellement de sa réalité immédiate. Au lieu de vous alarmer sur la pauvreté dans le monde, demandez-vous plutôt quelles actions concrètes puis-je accomplir contre la pauvreté dans mon quartier ? Qu’est-il possible de mettre en œuvre, ici et maintenant, dans mon environnement immédiat ? Là , vous ne subirez pas passivement l’impuissance du non-agir. Le Dalaï lama affirme que le premier pas pour faire cesser la guerre dans le monde est de faire cesser la guerre en soi. Quelles sont alors les zones de conflits ou de mal être dans mon existence présente, avec mes proches, mes collègues, mes amis ? Comment y remédier ? Que puis-je y faire maintenant ? Voilà les véritables questions ?
Mis à jour le 24 juin 2022 à 17h00 Témoignages cette phrase de psy qui a changé ma vie - © KatarzynaBialasiewicz / iStock Il suffit parfois d’une seule petite phrase pour un grand déclic. Deuil périnatal, anxiété, ou relation compliquée avec la figure paternelle les thérapeutes ont parfois les mots justes pour nous permettre de changer notre vision des choses. Par Laura Boudoux Les gens ne lisent pas dans tes pensées, et ce qui est évident pour toi, ne l’est pas pour eux » Ma psy m’a ouvert les yeux sur le fait que je ne pouvais pas en vouloir aux gens pour leurs actions si je n’exprimais pas en amont ce qui m’affectait, ou ce dont j’avais besoin. Avant, ça me servait un peu d’excuse pour être négative ou pour renforcer mes schémas "De toute façon personne ne m’aime, les gens font des choses qui me blessent parce qu’ils s’en fichent de moi." Quand elle m’a dit ça, j’ai réalisé qu’on est souvent tellement absorbées par nos propres problèmes qu’on ne fait pas forcément attention à l’impact de nos paroles ou de nos actes sur les autres. Par exemple, ma mère ne me posait pas trop de questions sur mon travail, et je me disais que c’était parce que ça ne l’intéressait pas, ou même qu’elle préférait ma sœur. Suite à mon rendez-vous avec la thérapeute, je lui ai simplement dit "Tu sais, ça me ferait plaisir que tu t’intéresses à mon travail et que tu sois plus curieuse de ma vie." J’ai bien vu que pour elle ce n’était pas du tout évident. C’est un exemple déclinable à l’envi, dans tous les domaines de ma vie et désormais je tire moins de conclusions hâtives. J’exprime davantage ce dont j’ai envie, et quand j’en veux aux gens, c’est en connaissance de cause ! [rires] » Clara À lire aussi >> En thérapie devrions-nous toutes et tous consulter un jour ? Vous ne pouvez pas sauver tout le monde, et encore moins quelqu’un qui ne veut pas être sauvé » J’avais des soucis dans ma vie perso, mais aussi professionnelle. Une impression d’être toujours en train de me battre pour quelque chose être aimée, être heureuse, faire en sorte que les décisions prises soient différentes… Après plusieurs séances, je me suis rendu compte que j’appuyais mon monde sur le monde des autres, et forcément "les autres" n’adoptaient pas toujours les comportements que j’attendais. L’homme qui partageait ma vie n’était pas un homme aimant, valorisant, ni gentil comme j’avais envie qu’il le soit avec moi. Je pensais qu’avec mon amour, j’allais le changer… mais ça ne marchait pas ! Avec cette phrase, j’ai compris que les seuls changements que je pouvais initier étaient ceux que je maîtrisais, et donc qu’il s’agissait de redéfinir mes envies, mes priorités, les limites de ce que je pouvais supporter. Il m’a fallu apprendre à dire non, et ça a changé ma vie. Je suis devenue mon propre changement, la scénariste et l’actrice de ma propre vie. Dans la foulée, j’ai quitté mon compagnon et j’ai changé de boulot radical mais efficace ! Depuis, je m’attache à cette philosophie afin d’éviter de m’engoncer dans des histoires de vie et/ou des situations professionnelles qui ne me conviennent pas. » Audrey Ce que vous ressentez est normal » J’ai perdu un bébé à un peu plus de cinq mois de grossesse, et les annonces de naissances ou de grossesse étaient très difficiles à gérer. Je recevais des photos d’échographie, ou des annonces par textos dans des groupes d’amies, et je m’effondrais à chaque fois. Ça faisait naître une colère immense, parce que je voyais qu’on ne prenait pas en compte ma situation en arrondissant les angles. C’est quelque chose qui m’a poursuivie pendant des mois et mon entourage ne comprenait pas mes réactions, mes crises d’angoisse. Il y avait une vraie incompréhension. Mon compagnon pensait que je faisais du sur-place, que je me complaisais là -dedans et que je devenais aigrie. C’était très dur d’avoir ces émotions négatives alors que j’étais censée me réjouir. Quand tu n’as pas d’amie à qui c’est arrivé, tu ne peux pas en parler et tu ne sais pas si c’est normal, ou si tu es en train de péter un câble, tu ne sais pas comment te situer. À la suite d’une dispute avec mon mari, j’en ai parlé à ma psy et elle m’a dit que ce que je ressentais était normal, et que certes ces émotions étaient très négatives, mais que je ne pouvais pas faire autrement, que j’étais en train d’apprendre à vivre avec. Elle m’a expliqué que c’était quelque chose de régulier et de normal dans les parcours comme les miens, et aussi ceux de PMA, ou d’infertilité. Ça m’a enlevé un poids. J’ai réalisé "Ce n’est pas moi qui ai un problème, ce ne sont pas non plus les autres. Mais avec les moyens qui sont les miens aujourd’hui, je ne peux pas faire autrement." J’ai pu accepter de ressentir ces émotions et ne plus me voir comme quelqu’un hors normes, ou de monstrueux, avec des émotions socialement inacceptables. Je n’avais pas besoin qu’on me secoue, ou qu’on me dise que j’étais injuste avec mes amies, mais juste que ça passerait un jour. » Sophie, créatrice du podcast Au Revoir. À lire aussi >> Deuil périnatal Toute fausse couche peut être dévastatrice » Ce n’est pas grave, si tout le monde ne vous aime pas » J’ai consulté parce que je me sentais assez triste, et j’étais surtout persuadé que j’étais une sorte de supercherie. J’avais l’impression que mes potes allaient se rendre compte que j’étais juste un mec nul, lambda. J’avais vraiment la volonté de plaire à tout le monde. Ma psy a prononcé cette phrase, en me demandant "Vous, vous n’aimez pas 100% des gens ?", et ça m’a fait prendre conscience des choses. Ce n’est pas encore totalement réglé, mais maintenant, si des gens ne m’aiment pas pour ce que je suis, je n’en ai plus rien à faire ! » Alex Vous devez réapprendre à voir votre père comme votre père, et non comme votre époux » J’avais moins de dix ans quand j’ai découvert que mon père était infidèle. Je fouillais dans son portable dès que j’en avais l’occasion, comme une épouse jalouse. Personne n’était au courant et ça a duré des années. À l’adolescence, j’avais des rapports compliqués avec lui, je n’arrivais même plus à le regarder dans les yeux pour lui parler. J’ai été voir une psy parce que je me sentais un peu déprimée, et au bout d’un quart d’heure, elle m’a demandé "Bon… pourquoi vous venez me voir ? Vraiment !" J’ai fondu en larmes et je lui ai tout raconté. Elle m’a expliqué qu’il fallait que je déconstruise l’image que j’avais créée de mon père, et que je cesse de jouer le rôle de l’épouse. J’ai réalisé que je n’étais absolument pas à ma place, et petit à petit, j’ai appris à voir mon père comme un père et non comme un homme. C’est parfois compliqué, et j’apprends encore à ne pas le juger et à lui faire confiance, sans trop me soucier de savoir quel époux il est. » Laura Vous souffrez d’anxiété sociale » Ma première psy a posé ce diagnostic, et tout s'est éclairé ! Je ne savais pas vraiment pourquoi j'allais la voir, mais je savais que je me sentais mal à l'aise dans certaines situations. Il a fallu les décortiquer ensemble et le fait qu'elle ait prononcé ces mots m'a ouvert tout un monde. Le mien, que je comprenais mieux. Mais aussi le monde de la psychologie, que j'ai vraiment trouvé fascinant à partir de ce moment-là . Elle m'a ensuite donné des exercices, de type méditation, écriture... et m'a dit que j'avais toute la vie pour travailler sur mon anxiété sociale avec ses outils. Cette phrase m'a fait un bien fou, j'ai eu l'impression de me connaître réellement tout à coup. C'était rassurant de savoir qu'il y avait des mots pour le dire, et cela m'a donné confiance en l'avenir. » Vanessa Vous pouvez aussi choisir de ne pas penser à ces scénarios » À chaque fois que je prenais l'avion, j'imaginais un crash, la sensation que ça me ferait, et la réaction de mes proches si je mourais. Ma psy m'a expliqué que je pouvais choisir de ne pas penser à tout ça. Ça peut paraître bête, mais je n'avais jamais considéré le fait que ça puisse être un choix. Je pouvais me dire "Non, je ne vais pas alimenter ces scénarios et les entretenir", mais plutôt décider, quand j’avais des pensées anxieuses et intrusives, de les laisser de côté pour de me concentrer sur autre chose. C’était valable lorsque je me trouvais dans un avion, mais aussi pour d'autres situations… Ça a été une sorte de révélation, et quand j'ai des pensées anxieuses aujourd'hui, je repense à cette phrase et ça m'aide énormément. » Marie
Si aujourd’hui, je suis devenu adepte du minimalisme et je prône la simplicité volontaire, il faut savoir que cela n’a pas toujours été le cas. En tant que minimaliste, il m’a fallu du temps pour comprendre qu’au fond, il en faut peu pour être heureux !Temps de lecture estimé 19 minutesComment devenir minimaliste ?J’ai appris à être heureux avec peuJ’ai réussi à simplifier mon quotidien en réduisant mon attachement aux objetsJe recycle et donne une seconde vie aux objets superflusLe mode de vie minimaliste m’aide à économiser de l’argentLe minimalisme permet de désencombrer sa maison et simplifier son intérieurComme je suis minimaliste, je voyage plus qu’avantJ’ai récupéré de l’argent en revendant ce qui ne me sert plusEst-ce que le minimalisme incite à la décroissance ?Mon bilan personnelPour aller plus loin les meilleurs livres sur le minimalismeContrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, on ne se réveille pas un matin en étant minimaliste. Dans mon cas, je le suis devenu petit à petit au fil de ma réflexion relative au gain de temps. Selon mon mode de vie actuel, j’évite de jeter des choses et pourtant je ne possède que le strict minimum. Je préfère donner mes vieilles affaires aux association des années, j’étais incapable de vivre le moment présent et même aujourd’hui cela reste parfois difficile.La pratique du minimalisme au quotidien me permet d’économiser beaucoup d’argent, mais c’est surtout le gain de temps qui est impressionnant. De fait, j’essaye de faire en sorte qu’il n’y ait rien de superflu. L’avantage est de faire l’essentiel de mon ménage en quelques heures maximum car mon intérieur est simple et sain, du moins j’essaye de tout faire pour !Pendant des années, j’ai accumulé tout un tas de choses qui m’encombraient et que je ne savais plus où entreposer. Mon dressing était rempli de vêtements que je ne portais plus. Il y avait de vieilles chaussettes, des vêtements que je ne portais pas, soit parce qu’ils ne m’allaient plus, soit parce qu’ils étaient démodés. Il y avait même des habits que je n’avais jamais mis ! J’avais beau trier et ranger au mieux mes placards et ma penderie, rien n’y faisait les étagères étaient pleines de vieux bibelots et même de jouets dont je n’arrivais pas à me séparer. Les tiroirs regorgeaient de vieilles clefs, de vieux stylos usés, de piles et de bricoles en tout genre. Il y avait aussi de vieux livres en train de s’empiler, d’anciens cours de collège et lycée. J’étais encombré et pour moi, il était hors de question de bonheur, c’est parfois aussi simple qu’une ballade en fil des déménagements, j’ai compris que tout ce que je possédais contribuerait à me ralentir et à m’engluer. C’est comme si chaque objet qui m’entourait, chacune de mes possessions matérielles contribuait à m’enliser dans mon quotidien, m’empêcher d’avancer dans mes propres fond, toutes ces vieilles choses superflues étaient comme autant de forces de frottement qui me démoralisaient. Il m’a fallu du temps pour trier et me débarrasser de tout ce bazar. Trop de fringues, d’objets inutiles, une accumulation de choses et surtout un manque d’agencement. Le résultat était sans appel un grand gâchis avec des objets inutiles que je possédais déjà en plusieurs exemplaires. Une chambre à coucher devenue un lieu de stockage. Il était temps de faire le grand ménage pour changer de style de vie et alléger mon esprit. Je me suis dit “ Jérémie, ta vie doit changer, en privilégiant la simplicité. À quoi bon garder les objets qui me restent dans une valise ? Pourquoi rester esclave de la société de consommation ?” C’est ainsi que j’ai réussi à adopter un style de vie minimaliste, ce qui m’a permis de simplifier mon quotidien et me débarrasser de beaucoup de choses cet article, je vous présente les avantages à devenir adepte du minimalisme au travers de mon expérience personnelle. J’espère que la lecture de cet article provoquera chez vous un déclic pour alléger votre quotidien. Je suis disponible pour répondre à vos questions dans les appris à être heureux avec peuÊtre minimaliste comme mode de vie, c’est trouver le bonheur dans chaque instant du quotidien au lieu de vouloir toujours acquérir plus. Le minimalisme, c’est l’art du désencombrement, c’est refuser le consumérisme. Il s’agit d’un mode de vie qui encourage ses adeptes à en faire plus avec moins et à se tenir loin du matérialisme. Les minimalistes préfèrent vivre l’instant présent, acheter des expériences, des moments de bonheur plutôt que des gadgets et des objets inutiles. Ils refusent d’être dépendants des objets. L’idée centrale, c’est d’arrêter de vouloir gagner toujours plus d’argent pour acheter de nouveaux objets. En cela, il se rapproche du frugalisme. Les minimalistes trouvent du plaisir dans les choses simples de la vie. Ils consomment moins et privilégient leurs relations avec leurs proches et leur famille, car ils ont compris que le temps ne passe qu’une fois et que nous n’emporterons pas nos richesses dans la tombe. Rester dans la simplicité, alléger l’esprit voire vivre avec le strict minimum sont des valeurs dans lesquelles je me reconnais. En effet, j’en suis arrivé à un stade de la vie où moins, j’en ai, mieux je me porte ! Je veux simplement vivre et choisir un objet essentiel parce qu’il me plait plutôt que d’accumuler des choses décoration d’intérieur minimaliste épuréeJ’ai réussi à simplifier mon quotidien en réduisant mon attachement aux objetsJe ne suis pas devenu minimaliste par choix et pourtant je n’étais pas non plus matérialiste, ni maximaliste. J’ai réussi à devenir minimaliste au fil du temps, en comprenant qu’accumuler des choses inutiles ne me rendrait pas plus heureux. C’est donc plutôt le minimalisme qui s’est imposé à une époque de ma vie où je cherchais comment vivre heureux avec peu. Il est vrai que certains objets peuvent être superflus, sans même qu’on s’en rende y a encore 10 ans, je ne savais même pas que cela existait. Je continuais à accumuler des objets qui ne m’apportent ni joie ni utilité. Je stockais dans des cartons, des armoires, des tiroirs et des étagères murales remplis de choses totalement inutiles. Je n’arrivais pas à organiser le rangement. J’ai un jour compris que je pourrais me débarrasser de tout ce qui ne me servait plus en revendant certains objets auxquels je ne suis pas attaché pour en tirer profit tout en débarrassant le dressing, la chambre, le salon, la cuisine et même la cave. J’ai ainsi réussi à me détacher de certains objets tout en faisant le ménage chez moi. Cela a commencé avec les vieux vêtements. J’en ai donné beaucoup à Emmaüs, car c’est une association qui me tient à cœur et dont je partage les valeurs. Il y a eu ensuite les livres que j’ai vendus dans des brocantes ou en ligne grâce à des applications en ligne. Puis ce fut au tour des disques CD que j’ai au préalable pris soin de numériser. Aujourd’hui, moins je possède d’objets et mieux je me porte. Quand j’ai dû déménager pour changer de logement, j’en ai profité pour continuer à alléger mes possessions. J’avais trouvé une astuce qui consiste à ne sortir des cartons que ce dont j’avais besoin comme certains vêtements ou ustensiles de cuisine. Le reste restait dans les cartons. C’est une méthode radicale, mais qui a fait ses preuves pour vivre une vie sobre. Aujourd’hui, je suis libre et je sais que ce n’est pas ce que j’achète qui me définit et je refuse de me comparer aux autres à l’aune de mes possessions. Nous ne sommes pas ce que nous achetons et être, ce n’est pas avoir. Je me sens allégé, car je mène une vie simple, dans la sobriété volontaire, loin de la société de consommation et plus proche de la recycle et donne une seconde vie aux objets superflusPourquoi devrions-nous toujours acheter des objets neufs ? Aujourd’hui, je rechigne à jeter et je préfère vendre, offrir ou donner des livres, des meubles, des objets de décorations ou même des vêtements. Ces objets méritent une seconde vie. Acheter ou vendre des produits de seconde main permet de réduire la production de déchets et de minimiser notre impact sur l’environnement. C’est un cercle vertueux qui s’inscrit dans l’économie circulaire. Il me semble qu’il vaut mieux recycler des choses inutiles que de les jeter. Quand j’ai un objet abîmé ou cassé comme un meuble par exemple, je le répare avant d’en racheter un. Je ne veux acquérir que des choses dont je ressens le besoin ou la profonde envie. Je vais essayer de contenir mes pulsions d’achat pour arrêter d’accumuler les objets. Au fond, ce dont nous avons besoin c’est juste un peu d’eau et de nourriture de qualité, quelques vêtements qui nous plaisent et un toit sur la tête. J’essaie de ne garder que l’essentiel pour éviter de m’encombrer l’esprit. Il est inutile de garder un objet vêtements que je ne porte pas. Autant s’en débarrasser en les offrant ou en les vendant. Cela évite le gâchis et permet de s’inscrire dans une démarche mode de vie minimaliste m’aide à économiser de l’argentEn adoptant un mode de vie minimaliste, je réduis ma consommation et ma production de déchets. Auparavant, j’avais tendance à accumuler, car je me disais “on ne sait jamais”. Je voulais donc tout prévoir, tout anticiper… du moins, c’est ce que je croyais. J’avais tendance à accorder trop d’importance à certaines de mes possessions au risque de passer à côté de l’essentiel le temps qui passe. Il y a donc eu peu à peu une prise de conscience. Il m’arrive parfois d’avoir envie d’acheter des gadgets hi-tech hors de prix. Dans ces moments, j’essaie de me souvenir que ce n’est pas mes possessions qui font de moi une personne plus moins, car j’ai besoin de moins d’objets pour me sentir plus épanoui, plus zen. J’ai donc plus d’argent pour m’offrir des moments plutôt que d’acheter des objets qui finissent inexorablement par se noyer dans mon une vie autour d’un style minimaliste permet de simplifier beaucoup le minimalisme permet de désencombrer sa maison et simplifier son intérieurAujourd’hui, je gagne du temps pour ranger mon appartement, car j’ai fait du tri. J’essaie de me satisfaire du strict minimum. Pour y parvenir, il m’a fallu d’abord observer mon intérieur pour comprendre ce qui n’allait pas. Je ne suis pas un fan du rangement. Je pense qu’on peut même dire que je suis d’un naturel bordélique. En général, je préfère ranger rapidement, car je considère que c’est une perte de temps. Et pourtant, chacun sait que le rangement a de véritables vertus thérapeutiques ranger sa maison c’est ranger sa du tri a même un impact positif sur notre moral. On éprouve un sentiment de bien-être et de plénitude, en rentrant dans une maison épurée et ordonnée et avec des espaces clairs, dans lesquels on peut facilement circuler. Avouez que c’est plus sain qu’un intérieur lugubre à la décoration chargée de vieux meubles encombrants comme cette vieille commode dont vous n’arrivez pas à vous débarrasser. Qui donc peut éprouver du plaisir à voir tous les jours cette horrible étagère qui déborde de vieilleries ?Au fond, préférez-vous un design minimaliste avec quelques objets essentiels, des meubles fonctionnels, modulables et discrets comme une penderie avec des portes coulissantes pour votre intérieur plutôt qu’une décoration trop chargée avec la grande armoire normande en chêne ?Vous pourriez trouver des dizaines d’idées déco pour aménager votre espace intérieur, obtenir un gain de place et mieux organiser la maison. Vous pouvez par exemple optimiser votre rangement des chaussures avec un meuble dédié. Vous pouvez aussi faire une sorte de grand ménage de printemps, une détox pour juste vivre mieux. J’ai commencé à faire le ménage par le vide dans mon dressing. J’ai vidé les placards, mis tous mes vêtements sur le lit et j’ai commencé un tri drastique. Je n’ai rangé dans l’armoire que les vêtements que j’avais déjà portés durant l’année. J’ai rangé le reste dans des bacs. Notez au passage qu’avant de jeter un objet, il vaut mieux vérifier que vous pouvez vraiment vous en passer. Il serait franchement regrettable de vous débarrasser de certaines de vos affaires un peu trop vite pour ensuite être contraint de les racheter ! Aujourd’hui, quand je choisis d’acquérir un nouvel objet, il n’est presque jamais espace de travail dégagé, un intérieur sobre et épuré minimaliste, rien de mieux pour se concentrerFaire le vide dans sa maison, prendre le temps de plier et ranger soigneusement ses affaires revient aussi à faire le vide en soi pour avoir les idées plus claires, une forme de sérénité et de paix intérieure. Il est d’autant plus important d’optimiser l’espace quand on vit dans un logement petit pour obtenir un gain de minimalistes décident même de vivre dans des Tiny house des maisons miniatures. Ce concept de maison minimaliste construite sur une remorque a connu un essor depuis la crise mondiale de 2008. Dans 20 m², pas de place pour les babioles. Le style vestimentaire et décoratif de même que l’ameublement se doivent d’être sobres, épurés et réduits au strict minimum. Un placard au style moderne et écolo, un design intérieur optimisé. Comme je suis minimaliste, je voyage plus qu’avantLe minimalisme permet de simplifier sa vie et comme j’ai réussi à réduire mes possessions, je peux voyager en emportant l’essentiel. En pratique, je n’ai besoin que d’un ordinateur, un téléphone et une caméra pour tourner mes vidéos YouTube et échanger avec les membres de mon programme d’accompagnement. Aujourd’hui, l’essentiel de ma vie tient dans deux valises, ce qui me permet d’être plus libre. Mes documents administratifs et bancaires sont déjà numérisés. L’usage des outils informatiques permet de classer et bien organiser ses affaires comme les fiches des payes et les minimaliste me permet de gagner en mobilité et de vivre plus simplement. Au fur et à mesure j’ai mis en place des techniques pour économiser de l’eau, mais aussi dépenser moins pour le transport, le logement ou la nourriture. Mes maîtres mots sont désormais petits, légers et pratiques. J’aime voyager tout en faisant des économies. Cela m’amène à réfléchir sur mes véritables besoins. Je me concentre sur le strict minimum les basiques pour alléger le quotidien, ce qui simplifie les récupéré de l’argent en revendant ce qui ne me sert plusLe minimalisme m’a permis de gagner de l’argent. N’allez pas croire qu’en possédant moins de choses, vous allez devenir riche, mais vous pourrez récupérer des fonds. Gagner de l’argent n’est pas l’objectif premier des minimalistes. Petit à petit, j’ai revendu la majeure partie des objets que je possédais, mais que je n’utiliserais plus. J’ai notamment revendu une vieille machine de musculation je préfère m’entraîner en plein air ou parfois dans une salle de gym équipée de machines professionnelles. J’ai ainsi pu récupérer 700 euros. Plus tard, ce fut au tour de ma batterie. Bien qu’il s’agissait d’un instrument de musique que j’adorais, mais je n’en jouais déjà plus depuis des années, car je vivais en appartement et ne jouais plus de musique. Cela me fendait le cœur de voir que mon instrument vieillissait et que les chromes commençaient à rouiller. J’ai décidé de la revendre, car j’ai compris qu’un instrument de musique est fait pour être joué, pas pour rester démonter dans un grenier ou une cave. J’ai ainsi pu récupérer 1600 euros. Et c’est bien sûr sans compter l’argent que j’ai récupéré grâce à la vente de certains livres et disques j’ai récupéré au total environ 500 euros. J’ai aussi jeté mes vieilles paires de chaussures à la poubelle. À noter que les minimalistes sont souvent écolo. Ils privilégient l’achat d’aliment en vrac pour éviter d’accumuler des emballages que le minimalisme incite à la décroissance ?Il nous encourage à faire preuve de bon sens au quotidien. Il simplifie la vie car il incite à trier efficacement. Cela ne veut pas dire acheter moins mais acheter mieux. Je suis souvent gêné avec le concept de décroissance parce qu’il implique une notion de privation. Hors, se priver n’est pas la solution. Il vaut mieux revoir notre système de valeurs pour recentrer nos priorités. C’est la raison pour laquelle j’ai arrêté d’accumuler des biens et je préfère m’acheter des moments, des souvenirs, du temps, plutôt que des choses. Je préfère vivre l’instant présent. Chacun de mes objets est essentiel et fonctionnel. Pour autant, à aucun moment je ne me suis restreint. C’est une véritable philosophie de vie dont la première des vertus est de simplifier la bilan personnel À l’heure où j’écris ces quelques lignes, je me rends compte que j’ai bien changé et même si je n’ai jamais été dans l’optique d’acheter beaucoup de choses, je donnais plus d’importance aux objets qu’aujourd’hui. Aujourd’hui, je me sens plus épanoui, car la pratique du minimalisme me permet de vivre simplement. Je possède moins d’objets inutiles qui finissent inexorablement par encombrer les étagères. Peut-être que c’est aussi cela, la mise en pratique de la simplicité de garder une chambre rangée. Dans la pratique, c’est plutôt facile, car j’ai réussi à faire le vide. Avoir moins de manteaux, de pulls, de chemises me permet de gagner du temps. Je me sens mieux, parce que j’ai réussi à alléger mon quotidien. J’ai aussi compris que posséder des objets n’est pas une fin en mon appartement et me séparer des choses inutiles me permet de vivre loin de la surconsommation. J’ai compris au fil du temps que posséder un objet ne fait pas de moi une meilleure personne. Je ne vous incite pas nécessairement à vous défaire de vos possessions ni à aller dans l’extrême, mais peut-être prendre conscience que vous pouvez gagner de la place grâce au rangement et à une meilleure organisation de la maison. Il revient à chacun de trouver le juste milieu afin de se sentir plus épanoui au quotidien. Pour devenir minimaliste, vous pourriez commencer par désencombrer et faire le tri dans vos possessions, à commencer par votre garde-robe, votre armoire, vos tiroirs. Triez efficacement vos vêtements, vos serviettes… Vous pourrez ensuite procéder pièce par pièce. En vous débarrassant du superflu, vous allez peu à peu adopter un mode de vie plus simple et découvrir les bienfaits du mouvement minimaliste, à commencer par une simplicité de vie. C’est un véritable état d’esprit. Vous ne serez jamais plus dans l’accumulation. Vous allez apprendre à garder l’essentiel et quelques objets affectifs pour réussir à vivre mieux, avec moins. Il vous faut de bons le dit si bien Baloo, il en faut peu pour être heureuxPour aller plus loin les meilleurs livres sur le minimalismeVous vous débarrassez des choses inutiles. Devenir minimaliste permet de mener une vie simple et de prendre le temps de vivre mieux avec moins et se détachant des possessions matérielles. En faisant attention au rangement et en adoptant une décoration intérieure d’inspiration Scandinave entendez par là des espaces de rangement fonctionnels pour ranger vos livres, vos objets, vous parviendrez simplement à vivre mieux et alléger votre esprit. Vous ne serez pas pour autant obligé de vivre avec le strict minimum. Être minimaliste, c’est avant tout un art de vivre, un changement de style de vie qui vous aide à consommer moins sans accumuler des biens inutiles. Le minimalisme au quotidien est pour moi l’une des plus belles manières d’intégrer un mode de vie frugaliste. Une façon simple de s’engager dans un mode de vie en faveur du développement vous souhaitez en savoir plus sur ma méthode de tri, j’ai dédié un chapitre de mon livre Un salaire sans rien faire ou presque » aux éditions Robert Laffont au minimalisme et l’art d’en faire plus avec vous voulez apprendre à en faire plus avec moins, il y a aussi le livre de Béa Johnson “Zéro déchet” dans lequel vous trouverez des astuces pour alléger sa vie en privilégiant la simplicité. Il y a aussi une méthode japonaise bien connue qui est celle de Marie Kondo La magie du rangement ». Enfin, je ne peux que vous recommander Dominique Loreau L’art de la simplicité ».Jérémie BrygoÀ lire aussi
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