Situéedans le département de la Manche, entre Saint lô et Coutances, cette exploitation laitière dispose d'une référence de 787 000 litres de lait sur une surface de 95 ha. Les vaches et génisses sont ensemble dans un même bâtiment fonctionnel et construit en 1999. Des panneaux photovoltaïques sont présents pour une puissance de 36 kwh avec encore 8 ans de contrat. Il
Situéeen centre Manche proche d'une grande ville dans un environnement laitier dynamique. Bâtiment vaches laitières en système logettes sur tapis et robot de traite BOUMATIC, en système paillé avec racleur pour l'élevage. Ensemble de bâtiments bien entretenus et fonctionnels. Vente des bâtiments, cheptel, matériel, stocks et environ 21
Fichestechniques de présentation de bâtiments d'élevage - bovin lait. Clim'Agil : un projet en plein développement . Prenez part au projet !
Ensuiteune sous-couche est distribuée tous les 15 à 20 jours pour entretien, suivant le temps de présence des animaux en bâtiment et de la saison. Les mélanges sont proportionnés avec 15 % de paille broyée (longueur : 2 à 3 cm) avec 65 % de chaux humide et 10 % d’eau. Comme toute logette, un entretien journalier s’impose par un à
Lebâtiment et la salle de traite ont déjà plus de 30 ans. À la traite, 100 vaches laitières avec une moyenne de 39,2 kg au dernier contrôle. La salle de traite est une 2x6 Boumatic. On compte 70 places à l’auge et 92 logettes. À la sortie de la salle de traite, un pédiluve automatique pour un nettoyage des pattes matin et soir.
Lesconditions d’hébergement des vaches jouent un rôle crucial dans la prévention des maladies du sabot. Aménagez suffisamment de logettes (une par vache). Celles-ci doivent être de dimension adaptée et dotées d’une litière tendre afin de permettre aux animaux de se reposer dans les meilleures conditions.
Unbâtiment de 100 logettes, plus le box de vêlage et le bloc traite pour un roto de 40 places sortent de terre. Le chantier, démarré en avril dernier, est conséquent : environ 2 300 m 2 de surface bétonnée, dont 1 400 m 2 de caillebotis rainuré et de logettes, soit 850 m 3 de béton. En dessous, deux fosses de 2,5 m de profondeur, de presque 3 000 m 3.
Clem41a écrit :La décision d'acheter un robot est essentiellement à cause de la main d'oeuvre donc pour les logettes, non pas les moyens du moins pour le moment.Et en plus c'est un bâtiment existant Par contre avez-vous (pote206S16) des cornadis? car nous avons une aire paillée et des auges, alors pour prendre des vaches ou pour la mise en route du
Bâtimentsen structure légère avec logettes creuses et aires d'exercice non couvertes, couloirs de distribution réduits avec des tapis d’alimentation bloc traite séparé du bâtiment avec accès direct au pâturage avec transition possible par le bâtiment selon les lots Bâtiments VACHES LAITIERES Prototype « coûts raisonnés » LeRMTBâtimentsd’élevage de demain bénéficie de
LInstitut de l’élevage vient de publier un document donnant les éléments pour réussir son bâtiment logettes pour les vaches allaitantes, accompagné de trois cas concrets : Logettes raclées lisier. Logettes
KC4eu. Le Gaec Orhan a construit un nouveau bâtiment pour accueillir ses 90 vaches laitières. Après de nombreuses visites d’exploitations et un an de travaux, la stabulation est fonctionnelle et optimisée pour le confort des animaux et des éleveurs. À Bain-sur-Oust 35, le Gaec Orhan a construit un nouveau bâtiment afin d’accueillir son troupeau de vaches laitières suite à l’installation d’Adeline avec ses parents. Avec l’acquisition de nouveaux droits à produire, et quelques laitières supplémentaires, l’ancienne stabulation bâtie en 1989 et la salle de traite 2 x 5 n’étaient plus adaptées au troupeau de 90 Prim’Holstein. Nous ne pouvions pas aménager l’ancien bâtiment avec des logettes et nous achetions beaucoup de paille pour le paillage il fallait construire quelque chose de nouveau », déclare la jeune agricultrice, associée depuis le 1er janvier 2019. Il faut se poser les bonnes questions, fumier ou non, méthodes de travail, tarifs », justifie Gurvan Talvas, technicien Cultivert qui a conseillé le Gaec durant toute la construction du projet. On n’a pas le droit à l’erreur sur l’aménagement de son bâtiment, il faut donc prendre le temps et visiter », ajoute Hervé Orhan, également associé au Gaec. 2 robots pour 90 laitières Les 121 places de logettes sont recouvertes d’un tapis Natura latex de chez Cultivert pour le confort des vaches. Les objectifs du nouveau bâtiment sont clairs et identifiés au sein de l’exploitation optimiser le confort pour les animaux et les éleveurs, mais aussi remplir leur droit à produire afin de saturer les deux robots. Je voulais un robot pour ne pas avoir la contrainte quotidienne de la traite », souligne la jeune éleveuse. Les associés choisissent d’investir dans deux robots qui ne seront pas saturés à la mise en route du bâtiment, mais devront l’être à terme. Les éleveurs visitent de nombreuses exploitations et se rendent à des portes ouvertes pour les guider dans leurs choix. J’aime voir les produits déjà essayés chez d’autres éleveurs et avoir leur ressenti dessus. J’ai appelé Gurvan Talvas pour qu’il me conseille sur les produits qu’il avait déjà installés et sur ce qui est cohérent avec ma façon de travailler », souligne Adeline Orhan. Après une dizaine de bâtiments visités, le terrassement commence en janvier 2019 72 m x 20 m dont une table d’affouragement de 5 m, l’ensemble orienté sud-est. Avant, il était conseillé d’orienter vers l’est pour protéger des vents dominants. Mais désormais nous avons les équipements adéquats pour changer cette orientation les bardages protègent les animaux des courants d’air et de la pluie tout en favorisant une bonne aération », détaille le technicien. La maçonnerie est réalisée en avril par la société Moutel, et les associés optent finalement pour du caillebotis Avec ce système nous n’avons pas besoin d’installer de fosse extérieure », justifie Hervé Orhan. Un mécanisme malaxe automatiquement le lisier directement sous l’installation pendant 10 minutes tous les jours. Aéré et sans odeur, le bâtiment est également lumineux grâce aux 10 % de translucides présents sur la toiture et l’ouverture totale sur la façade Est. Économie de paille Le choix de logettes avec matelas conduit à une économie de paille conséquente pour l’exploitation qui utilise désormais chaque mois l’équivalent de sa consommation quotidienne de l’ancien bâtiment. J’ai choisi d’installer des matelas Natura en latex plutôt que des tapis standards car la structure du tapis se compose d’un seul morceau et favorise ainsi l’écoulement des jus vers le caillebotis », confie l’éleveuse. Avec l’équipe de pose, les associés installent les tapis Natura latex de chez IDS pour les 121 places en une journée et demie. Ce tapis se compose d’une mousse 100 % latex très souple et à mémoire de forme. Il est recouvert d’une toile de 4 mm afin de la protéger », détaille Gurvan Talvas. Les soigneurs déposent chaque jour de la farine de paille, livrée en big bag, sur les matelas. L’asséchant seul risque de s’attaquer aux mamelles et aux jarrets, mais il est possible d’en ajouter en complément de la farine de paille », conseille Gurvan Talvas. Le choix de logettes bien-être » Cosnet se justifie par un meilleur confort et un bon maintien des vaches couchées sans aucune gêne au-devant des logettes, leur fréquentation est ainsi optimisée. À l’arrière des robots et accessible par la porte de tri, le bâtiment dispose d’une aire de tri de 8 places de logettes et d’une aire paillée. Les cornadis de 6 m et 8 places avec limiteur de pendaison équipent également le bâtiment. Un investissement de 6 080 € la place Les performances laitières et de reproduction ont progressé dans la nouvelle structure. Les contrôles montrent une production de 24,9 litres/vache en décembre 2019, avant l’entrée dans le nouveau bâtiment. Elle s’élève à 31,3 litres/vache en juillet 2020. On laisse le temps aux animaux de s’habituer au bâtiment, et après un an, elles auront accès au pâturage », confie l’éleveuse. Des laitières qui se sont rapidement familiarisées aux robots comme le montre le nombre de passages 3,1 traites et 6,9 refus par vache ! Des chiffres qui indiquent également une bonne circulation autour des robots. Il y avait moins de passages dans l’un des robots à la mise en route car il était face à un mur, mais elles ont rapidement pris leurs marques », affirme Adeline Orhan. Des comportements et des résultats satisfaisants pour un investissement global de 6 080 € la place. Les vaches sont plus calmes dans ce nouveau bâtiment, et nous n’avons aucun regret sur l’aménagement réalisé », conclut-elle. Désormais, l’éleveuse a le temps de se concentrer sur l’élevage des génisses. Mon objectif est d’améliorer l’âge au premier vêlage actuellement de 27 mois », annonce celle qui travaille les plans d’accouplement avec Evolution. Nous sommes vigilants sur l’état des mamelles pour s’adapter au robot, ainsi que sur la rusticité avec de bons aplombs pour rentabiliser l’élevage des génisses sur le long terme ». Contacts Cultivert • Landerneau Pierre Leroy, 06 63 37 20 44, • Carhaix et Pluguffan Jacques Cosmao, 06 63 33 31 97, • Quimperlé et Pontivy Fabrice Bernard, 06 30 42 13 06 & Gilles Jagorel, 07 85 86 33 86, • Lamballe Patrick Briens, 06 63 33 46 72, • Guingamp et Mûr-de-Bretagne Julien Amiry, 06 72 56 59 08, • Combourg Gurvan Talvas, 06 22 44 39 47.
Plusieurs constructeurs proposent des stabulations simplifiées à logettes. Une réponse au besoin de réduire les coûts d’investissements avec des bâtiments parfaitement fonctionnels. Publié le 14 décembre 2009 - Par B. Griffoul Les cabanes à vaches des années 70 seraient-elles de retour ? À en croire la multiplication des propositions commerciales dans ce sens, on est fondé à le penser. Les capacités d’investissement des exploitations se sont dégradées. Hausse vertigineuse des coûts de construction et conjoncture économique chaotique ont incité les conseillers bâtiments et les constructeurs à rechercher des solutions moins coûteuses mais tout aussi fonctionnelles que les bâtiments traditionnels. D’où ces nouvelles stabulations à logettes simplifiées très compactes constituées de modules indépendants pour le couchage et l’alimentation. Selon les modèles, les aires de circulation sont plus ou moins couvertes et le bloc traite est généralement aménagé dans un autre bâtiment de construction classique. NICHES À VACHES RELOOKÉES Mais si elles s’inspirent des anciennes niches à vaches, ces stabulations ont été largement relookées en fonction des exigences d’aujourd’hui, aussi bien en termes de bien-être animal que de mécanisation. Nous avons travaillé sur la forme et les dimensions des logettes, sur l’aération du bâtiment et sur son accessibilité afin de pouvoir rentrer avec un tracteur pour le paillage », résume Benoît Belloncle, de la société Intrabois, qui a relancé il y a cinq ans le concept de niches à vaches. Richard Pigeon, des établissements Roiné, dont le premier bâtiment Stabeco a été mis en service cet été en Dordogne, revendique même une image super moderne » ce bâtiment n’a rien à voir avec les niches à vaches d’il y a 25 ou 30 ans. Il est équipé de racleurs, de tapis, de robots de traite, d’un séparateur de phases… » Tous mettent en avant un concept beaucoup plus évolutif et plus adaptable, en termes de dimensionnement. Ces constructions modulaires de faible hauteur de 3,50 à 4,50 m au point le plus haut sont aussi une réponse aux difficultés posées par les cathédrales » de plus en plus imposantes qui ont été bâties dans les élevages laitiers, dont la volumétrie est davantage calculée pour le passage des machines tractées qu’en fonction des besoins des animaux. Des bâtiments extrêmement coûteux, avec des surfaces importantes à barder, des volumes froids en faîtage et de plus en plus difficiles à ventiler. DES CONCEPTS SENSIBLEMENT DIFFÉRENTS Si toutes sont basées sur un assemblage de modules avec structure en bois, les stabulations à logettes simplifiées apparues récemment sur le marché français sont de conceptions sensiblement différentes. Intrabois a repris le principe du bâtiment fermé, avec deux rangées de logettes dos à dos dont les bat-flancs en bois sont solidaires de la charpente, et auquel peut être accolée une structure en auvent pour couvrir le couloir d’alimentation. Les aires de circulation sont entièrement couvertes. Les bâtiments Stabeco, dont la mise au point a bénéficié de l’appui de l’Institut de l’élevage dans le cadre d’un programme de recherche sur les bâtiments économes, sont constitués de modules monopentes ou bi-pentes qui peuvent être agencés entre eux pour satisfaire de nombreuses configurations deux ou trois rangées de logettes voire plus, avec couloir de paillage ou pas. Les zones intermédiaires ne sont pas couvertes. Néanmoins, orientation, agencement, hauteurs, débords de toitures et bardage sont adaptés pour tenir compte des vents dominants et faire en sorte que les animaux soient bien abrités. SUISSE, ALLEMAGNE OU IRLANDE Un nouvel intervenant vient d’entrer sur le marché le bureau d’étude Agriplan Environnement qui propose le concept Agrikit dont le premier exemplaire est en cours de construction en Loire-Atlantique. Il s’agit d’un même module mono-pente que l’on répète en le changeant de sens », explique Christophe Logéat, directeur d’Agriplan. Possibilité, là-encore, de mettre deux ou trois rangées de logettes. Les concepteurs des bâtiments Stabeco et Agrikit ne s’en cachent pas ils se sont inspirés de ce qu’ils ont vu en Suisse, en Allemagne ou en Irlande.
Couloirs de circulation, passages de logettes et aire d’attente. Leur bonne conception et leur bon entretien contribuent à la bonne santé des vaches laitières et donc à l’expression de la production. Une tendance apparaît la combinaison de différents types de sols. Voici quelques recommandations. Bien choisir le sol de sa stabulation est essentiel d’autant que le temps passé dans le bâtiment pour les vaches laitières augmente dans certains élevages. Une vache qui se déplace bien est une vache qui se nourrit bien et qui produit du lait. Il n’existe pas de sol idéal. Un sol adapté pour le déplacement des vaches laitières doit répondre à cinq caractéristiques physiques la friction, pour le niveau d’usure des onglons ; l’abrasivité ou rugosité, pour le niveau d’usure des onglons ; la dureté, pour le niveau de stress mécanique que le pied doit supporter ; le profil de surface, pour limiter les blessures ; les propriétés thermiques, pour les postures de l’animal. Béton, béton rainuré, tapis standard, asphalte, béton désactivé, caillebotis ou caillebotis avec tapis il est difficile de trouver un sol qui réponde à l’ensemble de ces cinq caractéristiques voir tableau ci-dessous. Peu fréquent… Une solution - déjà développée à l’étranger et qui émerge seulement en France - est la combinaison de différents des sols pour compenser leurs différents effets. Peu de références existent, pour le moment, en France. Sur 645 élevages interrogés dans le cadre du projet Casdar SOLVL, qui a étudié pendant trois ans et demi de 2013 à 2017 les sols de stabulation des vaches laitières, seuls 11 % ont déclarés avoir des sols mixtes dans leur stabulation. Les choix de combinaisons sont très divers caillebotis et béton, béton et tapis plein, caillebotis rainurés et béton, tapis ajouré et tapis plein, béton et asphalte… Les éleveurs qui mixent les types de sol le font avant tout pour le confort des animaux. Mais combiner deux types de sols revient, logiquement, plus cher qu’un béton simple. La réussite de telle ou telle association de sols tient, entre autres, de l’organisation du bâtiment nombre de rangées de logettes, surface par vache laitière…, du matériel de raclage, de la présence ou non d’un robot de traite…, qui déterminent la bonne répartition des animaux dans le bâtiment. Parmi les points de vigilance, il faut veiller à ce que les aires de circulation ne favorisent pas le couchage des animaux sur celles-ci. Il faut donc des conditions de couchage favorables et notamment des logettes bien réglées. Bien entretenir ses sols Quel que soit le type de sol choisi, simple ou mixte, le bon entretien des sols est essentiel pour maîtriser l’humidité et l’état de propreté, deux paramètres qui jouent un rôle majeur sur la santé des pieds des animaux. Une tâche dont il convient de se préoccuper dès la conception du bâtiment. Il faut en effet soigneusement réfléchir l’organisation intérieure de la stabulation, en particulier le choix et l’emplacement des différents équipements abreuvoirs, racleurs, contention…. Il s’agit également de limiter les zones nécessitant un entretien manuel. Un préalable au bon nettoyage des sols est leur bonne réalisation, notamment pour éviter que l’eau stagne à certains endroits, également pour préserver le matériel de raclage. Dans les élevages équipés de sol plein, le raclage automatique des couloirs de circulation est aujourd’hui largement répandu. Il n’est pas sans défaut. L’étude SOLVL a mis en avant l’importance de la qualité de raclage. Dans les élevages équipés de sol plein, la qualité du raclage est meilleure en conduite fumier par rapport au lisier le raclage du fumier est plus efficace grâce à la paille qui fait joint entre le béton et le racleur. L’efficacité augmente quand le béton est recouvert d’un tapis, du fait qu’une pièce de contact en matière synthétique est quasiment systématique sur les racleurs. Les fabricants proposent aujourd’hui des solutions pour améliorer l’efficacité du raclage, notamment l’installation d’une pièce d’usure sur les racleurs. L’entretien des logettes apparaît comme le vrai point difficile dans les stabulations à sol plein. Le plus souvent manuel, il n’est guère possible de le faire plus de deux fois par jour. Les sols des passages sont donc souvent beaucoup moins propres que les sols des aires d’exercice. Plusieurs solutions s’offrent à l’éleveur pour améliorer l’entretien de ces passages, parmi lesquelles accentuer les pentes de sols pour évacuer l’humidité plus rapidement, repositionner les abreuvoirs dans les aires d’exercice ou automatiser l’entretien. L’investissement dans un robot permettant d’aspirer doit se justifier au regard de son efficacité de nettoyage, de sa fiabilité et de sa capacité à nettoyer de grandes surfaces. Il ne faut pas, par ailleurs, oublier que, quelle que soit la qualité du raclage quotidien, un nettoyage en profondeur est à envisager annuellement pour parfaire l’hygiène des sols. H. F. d’après l’Institut de l’Elevage
plan bâtiment vache laitière avec robot logettes