monfils ma vie ma fiertécourgette en arabe marocain août 18, 2020 5:09 Publié par pluviométrie haut de france. Posé sur mon ventre nu et vide, tu étais tout chaud, je te couvrais déjà de bisous! !J'aime ses moments de douceur qui nous appartiennent ♥ un bonheur si parfait grâce à lui ♥ tu me manque mon bébé maman t'aime plus que tout ♥Jkiff kan mon pti prince s'endort
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30cdB. Depuis déjà un an, la vie m’a fait le merveilleux cadeau de devenir une Mamie. Plusieurs d’entre vous me comprendront sûrement si je vous dis qu’il n’y a pas de mots pour dire à quel point ce petit humain rempli ma vie! Je suis en admiration devant chaque petit apprentissage, devant chaque nouveau geste. Le plus petit de ses babillages sonne comme le plus grand air d’opéra à mes oreilles! Je suis certaine que plusieurs grands-mamans se reconnaissent en ce moment, non? Avant, quand mes amies me disaient que leurs petits-enfants étaient à ce point merveilleux, je me disais qu’elles manquaient d’objectivité! Mais voilà que ce petit humain entre dans ma vie pour venir tout bouleverser! Je peux même dire que je suis maintenant une Mamie complètement gaga»! Il illumine mes journées par ses éclats de rire si intenses, avec son sourire angélique et ses grands yeux curieux. Ce petit bonhomme plein d’ardeur qui respire la joie de vivre me fait vibrer. Il est si petit, mais il ne se doute pas à quel point il est important pour moi. Edmond a complètement changé ma vie. J’ai modifié mon alimentation pour être une Mamie à la hauteur. Bien sûr, je le fais aussi pour mon bien-être, mais je dois dire qu’il est ma motivation, il est ma raison de continuer à améliorer mes habitudes de vie! Je veux tellement le voir grandir. Je veux être là quand il aura son permis de conduire, je veux connaître sa première blonde. Je veux être là pour lui quand il aura une peine d’amour ou qu’il vivra un échec. Quand il est né, je dois vous avouer que le fait d’habiter loin de lui m’inquiétait. J’avais peur que la distance soit un obstacle à la qualité de notre relation Je crois même que j’étais égoïste… Peut-être allait-il préférer sa gardienne à sa grand-mère?! Quand j’y repense, je me trouve bien drôle! Comme je veux absolument faire partie de sa vie, je prends les grands moyens je le visite le plus régulièrement possible, je lui envoie des cartes à chaque occasion et on se parle» au téléphone au moins une fois semaine je dois avouer que je parle plus avec ma fille qu’avec mon petit-fils mais quand même, on essaie haha!. Et vous savez quoi? Ça fonctionne! Vous devriez voir son sourire quand il me voit apparaître chez lui! Mon coeur fond quand il me tend les bras et qu’il se colle contre moi… Je suis à ce moment là , la Mamyli la plus heureuse du monde car je sais que le lien est créé, qu’il sait maintenant qui je suis et que je serai toujours là pour lui. Maintenant, il ne me reste plus qu’à profiter de tous les beaux moments à venir et surtout d’apprécier le fait que mon petit-fils me rappelle chaque fois que le lien familial est plus fort que tout. Une Mamyli comblée.
Mon fils aimé j'ai reçu ta lettre Tu me parles déjà comme une grande personne tu insistes sur tes efforts à l'école et je sens ta passion de comprendre de chasser l'obscurité, la laideur de pénétrer les secrets du grand livre de la vie Tu es sûr de toi-même et sans le faire exprès tu me comptes tes richesses tu me rassures sur ta force comme si tu disais Ne t'en fais pas pour moi regarde-moi marcher regarde où vont mes pas l'horizon, l'immense horizon là -bas il n'a pas de secrets pour moi » Et je t'imagine ton beau front bien haut et bien droit j'imagine ta grande fierté Mon fils aimé j'ai reçu ta lettre Tu me dis Je pense à toi et je te donne ma vie » sans soupçonner ce que tu me fais en disant cela mon cœur fou ma tête dans les étoiles et par ce mot de toi je n'ai plus peine à croire que la grande Fête arrivera celle où des enfants comme toi devenus hommes marcheront à pas de géant loin de la misère des bidonvilles loin de la faim, de l'ignorance et des tristesses Mon fils aimé j'ai reçu ta lettre Tu as écrit toi-même l'adresse tu l'as écrite avec assurance tu t'es dit, si je mets ça papa recevra ma lettre et j'aurai peut-être une réponse et tu as commencé à imaginer la prison une grande maison où les gens sont enfermés combien et pourquoi ? mais alors ils ne peuvent pas voir la mer la forêt ils ne peuvent pas travailler pour que leurs enfants puissent avoir à manger Tu imagines quelque chose de méchant de pas beau quelque chose qui n'a pas de sens et qui fait qu'on devient triste ou très en colère Tu penses encore ceux qui ont fait les prisons sont certainement fous et tant et tant d'autres choses Oui mon fils aimé c'est comme ça qu'on commence à réfléchir à comprendre les hommes à aimer la vie à détester les tyrans et c'est comme ça que je t'aime que j'aime penser à toi du fond de ma prison Abdellatif Laâbi
Pour toi, mon fils, mon bébé Un poème de DOMINIQUE ELVIRA Toi, mon fils, mon bébé, Tu es arrivé sans crier gare, Un beau mois d'octobre, je t'ai donné la vie. Personne n'y croyait, seule moi, Je t'attendais avec impatience. Ton père et moi, à cette époque, Nous ne vivions pas ensemble. Il n'a pas réagi de suite à ta venue au monde, Tu es mon dernier bébé, et tu le resteras toujours. J'ai crié au monde entier, fort, qu'au grand jamais, je te gardais. Que même seule, j'affronterai la joie de te mettre au monde, Les barrières de la vie, De te dorloter, de te câliner, de te tenir dans mes bras, De t'embrasser chaque jour. Tu es mon superbe bébé, et tu le resteras toute ta vie. Pas un jour, je n'ai regretté ta venue. Pas une fois, je ne reviendrai en arrière. Toi, mon fils, mon bébé, Je sais que tu as souffert de ce manque de présence, d'amour, de ton père, Pour lui la vie, n'était que les copains, l'alcool. La vie n'a pas été toujours rose pour toi, ta soeur, tes frères. Je faisais tout pour vous protéger, mais hélas.... Je ne pouvais me battre contre des paroles qui détruisent, Ni les escapades, ni les saouleries, ni les copains. Je me battais pour toi, pour vous. Mais un jour, j'ai décidé de partir, fuir ce calvaire. Toi, mon fils, mon bébé, Nous sommes tous partis, Loin des tourments, j'ai tourné la page. J'ai essayé de survivre. Tu étais un enfant qui ne demandait jamais rien. Tu te contentais de peu. Tu adorais le football, tu as tout donné pour être le meilleur. Tu n'étais jamais content de toi. Pour toi, c'était tout bon ou tout mauvais. Toi, mon fils, mon bébé, Tu as deux facettes opposées. Au fil des années tu t'es affirmé. Tu as ton caractère. Nous n'avons pas toujours été d'accord. Je n'acceptais pas tes sorties, tes jeux inlassables sur internet, Tes nuits blanches, tes reproches, Ton manque de travail à l'école. Pourtant, tu as réussi tes examens. Toi, mon fils, mon bébé, Je suis fière de toi. Je t'ai donné toute ma vie, mes rêves, mes angoisses. Pour toi, j'aurai voulu déplacer les montagnes. Pas un jour, je n'ai cessé de t'aimer. Lorsque j'ai baissé les bras, Tu as été là pour moi, Tu as sauvé ma vie, à maintes reprises, Tu m'as souvent remise en question. Tu m'as fait voir la réalité de la vie. Tu m'as bousculée pour me sortir de ma torpeur, de mes actes, et me mettre face à la réalité. Toi, mon fils, mon bébé, Je te sentais malheureux, de me voir ainsi. Tu m'as donné un but à ma vie, Pour toi, je me battrais encore et encore. Tu as toujours été là pour moi ; Grandir, n'est pas toujours facile. Tu as au fond de toi, une grande douceur. Tu n'es jamais content de toi. Tes larmes me font tressaillir. Toi, mon fils, mon bébé, Il faut dire que tes incertitudes, tes insécurités t'angoissent. Tu te poses souvent la question, comment m'épanouir, être moi ? Tu me reproches de te laisser de côté, De ne pas être forte pour t'interdire ta façon d'agir, De ne pas te punir, de ne pas m'occuper de toi, De ne pas t'acheter des vêtements, des jeux toute l'année, Que pour les noëls, les rentrées scolaires, ton anniversaire. Toi, mon fils, mon bébé; Je ne pouvais pas être sévère, J'aurais voulu être une amie, et une mère pour toi. J'aurais aimé te parler, te dire combien je t'aime, Combien je tiens à toi, Que je suis heureuse de t'avoir, Que tu es mon bébé, mon bébé potelé, mon amour de bébé. Combien de fois, j'ai eu des remords, Souvent, je me suis assisse auprès de toi, lorsque tu dormais. Je me sentais coupable, Les remords me secouaient. Toi, mon fils, mon bébé, Parfois, nous nous querellions, Tu m'envoyais à la figure, toutes mes fautes, tes reproches. Et aussitôt, tu me prenais dans tes bras, Pour me cajoler, pour t'excuser, Pour me dire que tu m'aimais sincèrement, Que tu regrettais tes paroles. J'ai pleuré dans tes bras, Tu m'as réconfortée, Tu m'as donné ta tendresse, ton amour. Toi, mon fils, mon bébé, Tu voulais que je sois ferme avec toi, Tu voulais te sentir plus en sécurité, Tu n'aimes pas que je te dise tes erreurs, Tu as l'impression que ce sont tes péchés, Et cela te fausse le sens de tes valeurs. Tu n'aimes pas que je te répète toujours la même chose. Tu me dis parfois que tu me haïs, Je ne suis pas fâchée, je te comprends. Toi, mon fils, mon bébé, Tu fais souvent la sourde oreille, Tu fais des promesses et moi aussi. Mais souvent nous les brisons. N'oublie pas que je n'arrive pas à m'exprimer, comme je le voudrais, face à toi. J'ai peur face à toi, car je n'arrive pas à trouver le bon fil, Pour te dire que je suis désolée. Je ne t'ai jamais menti, ni raconté de mensonge. Je perds confiance souvent en moi, Je veux par contre que tu sois toi-même. Toi, mon fils, mon bébé, Tu es parti loin de moi, Pour vivre ta propre vie, Pour trouver ta place, Je sais que tu me manques, un peu plus chaque jour, Mais tu dois suivre ta voie, Et continuer seul ton chemin, Tu resteras mon fils, mon bébé, Pour toi, je serai toujours là , Pour t'écouter, te consoler, t'aider. Mes bras sont grands ouverts, Pour te tenir dans mes bras, te cajoler. Toi, mon fils, mon bébé. Modvareil © 2016
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