LaSclérose en plaques Qu’est-ce que la sclérose en plaques ? La sclérose en plaque ou SEP est une maladie inflammatoire chronique du système nerveux central (cerveau et moelle épinière), qui touche principalement le sujet jeune avec une nette prédominance féminine. La SEP est caractérisée par la destruction de la gaine de myéline qui enveloppe Centrede rééducation ?? Règles du forum. Retrouvez ici, les discussions autour des différents traitements et leurs effets secondaires ou encore la recherche sur la maladie. Le caractère sérieux de cette catégorie du forum est incompatible avec les posts inutiles et sans importance réelle avec le sujet. Nous vous demandons donc de Grossessedans la sclérose en plaques et les maladies du spectre de la NMO. Recommandations de la SFSEP. À voir : "essais thérapeutiques" ; Pr Gilles Edan. Journée Véronique Deburghgraeve - 30 avril 2022. Vannes. La Fondation ARSEP met en place un RDV mensuel Facebook live. Les traitements de la sclérose en plaques. Mise à jour. Vidéos: Journée Rhônalpine d’Information sur la Sclérose en Plaques (SEP). Ateliers Bien-Etre 2022. En visioconférence. Épidémie à Coronavirus Covid-19 et Sclérose en plaques. La Fondation ARSEP met en place un RDV mensuel Facebook live - à partir du 24/01/22. Mon père a une sclérose en plaques, témoignage de Lisa. Introduction La maladie de Parkinson (MP) et la sclérose en plaques (SEP) sont deux maladies chroniques du système nerveux central. La SEP touche 70 000 à 80 000 personnes en France, et environ 4000 personnes sont diagnostiquées chaque année selon la Fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques. rapportentune répartition inégale de la sclérose en plaques dans le monde. Un gradient Nord-Sud a été mis en évidence avec une détermination de 3 zones de prévalence. Une zone de forte prévalence située au dessus de 40° de latitude nord et de 30° de latitude sud qui présente une prévalence supérieure à 30 pour 100 000 habitants. Le sud de l’Europe, le pourtour Centrede rééducation. Règles du forum. Retrouvez ici, les discussions autour des différents traitements et leurs effets secondaires ou encore la recherche sur la maladie. Le caractère sérieux de cette catégorie du forum est incompatible avec les posts inutiles et sans importance réelle avec le sujet. Nous vous demandons donc de Journéemondiale de la SEP 2022 - Odile témoigne. 2 minutes pour comprendre la sclérose en plaques. La Sclérose en Plaques. « La Vie en Sclérose ? », une série de podcasts. SEP et proches, une matinée en présentiel à Paris : 11 juin 2022 de 9h30 à 13h30. Maison de la SEP 2022 : 08/06 - 22/06 - 17/09 et 22/09. À lire : Magazine "Forte". Rééducationfonctionnelle et sclérose en plaques : une vue d’ensemble. Neurorehabilitation in multiple sclerosis: an overview. Malgré les progrès thérapeutiques, l’évolution de la sclérose en plaques, traitée ou non, peut tôt ou tard conduire à l’installation d’un handicap ne se limitant pas aux seuls troubles locomoteurs Lasclérose en plaques (SEP) est une maladie chronique qui débute chez l'adulte jeune. Elle évolue par poussées successives imprévisibles qui entrainent de fréquentes consultations et hospitalisations, des arrêts de travail et l'installation et le progression d'un handicap. Les symptômes sont très variés et fluctuants, parfois difficiles à identifier et à gérer pour les ZfRokBX. La sclérose en plaques est la première cause de handicap par maladie neurologique chez les jeunes adultes. Détectée à l’aide d’un examen IRM, elle concerne aujourd’hui 100 000 patients en France. Elle est généralement diagnostiquée entre 25 et 35 ans, touche environ 2500 nouveaux patients chaque année. 3/4 des patients sont des femmes. Qu’en sait-on aujourd’hui et quelles sont les conséquences de cette maladie chez la personne atteinte ? Par quoi se caractérise la sclérose en plaques ? La sclérose en plaques ou SEP est une maladie auto-immune attaquant le système nerveux central, le cerveau et la moëlle épinière. Des cellules immunitaires, les lymphocytes T défaillants, détruisent la myéline, gaine protectrice des neurones. Ce dysfonctionnement provoque une inflammation. La myéline détériorée forme des plaques » de lésions. Selon leur taille et leur localisation, elles perturbent gravement les informations transmises par le système nerveux, provoquant divers symptômes. Cette maladie débute par une forme à poussées dont l’évolution variable est difficilement prévisible. Les recherches actuelles tendent à confirmer le caractère multifactoriel de la sclérose en plaques, avec prédisposition génétique et facteurs environnementaux. Cependant, ce n’est pas une maladie héréditaire. Des virus pourraient également jouer un rôle dans le déclenchement de la sclérose en plaques, mais elle n’est pas contagieuse. Touchant de jeunes adultes, la sclérose en plaques impacte lourdement leur vie privée et professionnelle. Reconnue comme une affection de longue durée, la sécurité sociale garantit sa prise en charge à 100 %. Symptômes et diagnostic de la sclérose en plaques Apparaissant entre 25 et 35 ans, ses conséquences sont plus ou moins lourdes dans le temps. Les symptômes varient selon la localisation des plaques dans le cerveau raideurs des membres, tremblements difficultés à marcher troubles visuels, digestifs, urinaires, sexuels et de la parole picotements, engourdissements, faiblesses et contractions musculaires, douleurs fatigue intense problèmes de mémoire et de concentration La chaleur peut provoquer le phénomène d’Uhthoff, aggravant temporairement ces symptômes. Elle cause un blocage de l’influx nerveux qui cesse quand la température du corps redevient normale. Source infographie – La variété des symptômes doit conduire la personne atteinte à rapidement consulter un neurologue. Il procède à différents examens comprenant un interrogatoire vérifiant le contexte familial et les signes de poussées un contrôle clinique évaluant la gêne des symptômes et leur persistance une IRM du cerveau et de la moëlle épinière pour visualiser les plaques dans le cerveau. Leur type et leur localisation cicatrice ou active confirment les symptômes et permettent de comprendre l’évolution de la maladie. Même si elles ne sont pas toujours réalisées, des analyses de sang et une ponction lombaire peuvent être ordonnées. La ponction lombaire consiste en un prélèvement via une fine aiguille de liquide encéphalo-rachidien au niveau des vertèbres lombaires du patient assis le dos courbé. Ce prélèvement prouve l’inflammation via la présence d’anticorps, et confirme l’élimination d’autres possibilités que la sclérose en plaques. Les différentes formes et évolutions La sclérose en plaques résulte d’une combinaison entre des facteurs génétiques et environnementaux. Elle n’est cependant pas héréditaire. Il existe 3 formes de sclérose en plaques La forme cyclique est la plus fréquente dans 80-85% des cas, notamment en début de maladie récurrente-rémittente poussées et rémissions alternent, les symptômes diminuent puis disparaissent. Les poussées ne sont ni régulières ni nécessairement plus intenses. Elle peut évoluer en forme progressive, sans poussées. La forme progressivement secondaire, survenant de 5 à 20 ans après l’apparition de la maladie pour 50% des patients la maladie progresse par poussées puis d’autres symptômes surviennent. Les rémissions sont partielles, le handicap évolue. La forme progressivement primaire la plus rare, sans poussées, mais des troubles présents dès le début de la maladie s’aggravent, puis d’autres symptômes apparaissent. Evolution sclérose plaques / Source infographie – Quels traitements pour la sclérose en plaques ? La sclérose en plaques affecte la vie personnelle, familiale et professionnelle. Les causes de cette pathologie n’étant pas clairement identifiées, il n’existe pas de traitement menant à la guérison. Les techniques d’imagerie modernes permettent un diagnostic plus précoce. Les consultations d’un neurologue détermineront le traitement médicamenteux et les options thérapeutiques adaptées à chaque cas. Le diagnostic posé, le neurologue, le médecin traitant et d’autres spécialistes interviennent, tels les infirmiers, kinésithérapeutes et orthophonistes, selon la rééducation. Elle se déroule dans des centres spécialisés ou non de la sclérose en plaques. La recherche a produit de nouveaux traitements ralentissant son évolution. Leur prise doit être strictement conforme aux prescriptions du neurologue. Il existe 3 types de traitements Anti-inflammatoire ponctuel à base de corticoïdes pour prévenir et contrôler les poussées, réduire leur durée et intensité. Ciblage des symptômes pour alléger les handicaps et mieux marcher, combattre la fatigue, les raideurs musculaires, les troubles urinaires, la douleur et baisser l’anxiété. Rééducation ciblée et soutien psychologique jouent un rôle important dans le soulagement des patients. Action continue sur la réponse immunitaire dès le début de la maladie. Les différentes molécules existantes modifient ou bloquent cette réponse, ralentissant l’évolution et l’impact de la sclérose en plaques. Disponibles en comprimés ou injections, avec des prises occasionnelles plusieurs fois dans l’année ou régulières et quotidiennes, ils sont prescrits uniquement par le neurologue sur une ordonnance dite pour médicament d’exception ». Même si toute guérison définitive est actuellement impossible, les recherches récentes ont permis des progrès conséquents dans la prise en charge de la sclérose en plaques. Avec une approche pluridisciplinaire, les traitements actuels permettent aux patients de mieux vivre au quotidien durant de nombreuses années. La sclérose en plaques SEP est une maladie inflammatoire Elle touche l’ensemble du système nerveux central cerveau, moelle épinière, nerfs optiques.Elle concerne plus souvent la femme que l’homme. Les premiers signes se manifestent en général entre 20 et 40 ans. L’inflammation est la conséquence d’un dysfonctionnement du système immunitaire au sein du système nerveux porte sur la myéline, c’est-à-dire la couche de protéines qui entoure les fibres nerveuses et permet la propagation rapide de l’influx nerveux. Les zones détériorées de la myéline provoquent ce que l’on appelle les plaques » caractéristiques de la sa forme la plus courante, la SEP se caractérise par des poussées clairement définies, suivies de rémissions complètes ou partielles. Au fil du temps, toutefois, la capacité de l’organisme à réparer la myéline peut diminuer, et la formation de tissu cicatriciel peut entraîner l’accroissement du nombre de lésions permanentes. L’évolution de la maladie est en réalité très difficilement prévisible. Quels sont les principaux symptômes de la maladie et son évolution ? Les symptômes de la SEP sont également imprévisibles et varient grandement d’une personne à l’autre et chez une même personne au fil du temps. Les plus fréquents sont Les troubles visuels baisse de l’acuité visuelle d’un oeil, surtout, témoignant d’une névrite optiqueLes troubles sensitifs modifications du contact, fourmillements, douleursLes troubles moteurs ou de la coordination faiblesse d’un côté du corps ou des 2 jambes, troubles de la marche, maladresse… On distingue les formes suivantes de la maladie La forme purement rémittente, où l’évolution est caractérisée par des poussées suivies de rémissions partielles ou complètes, parfois très longues. C’est la forme la plus courante de la maladie. Dans certains cas, les poussées sont si rares qu’on peut parler de SEP de forme bénigneLa forme rémittente-progressive, où il existe une évolution lente entre les pousséesLa forme progressive primaire, qui correspond à une maladie d’évolution lente depuis le début, sans poussée identifiable Au moment du diagnostic, on ne peut prévoir la gravité de la SEP, son évolution ni les symptômes qui en découleront Comment fait-on le diagnostic SEP ? Le diagnostic de la SEP repose sur un ensemble d’arguments l’histoire des symptômes ressentisl’examen clinique fait par le neurologueles examens complémentaires et en particulier l’IRM Imagerie par résonance magnétique. Il s’agit de l’examen-clef, qui permet de visualiser les lésions plaques », disséminées dans plusieurs régions du système nerveux central. Dans certains cas où l’IRM ne permet pas un diagnostic clair, le neurologue peut avoir recours à une ponction lombaire, un examen ophtalmologique, ou à l’étude des potentiels évoqués visuels Quels sont les principes du traitement de la SEP ? Il faut distinguer le traitement des poussées, le traitement de fond et le traitement des traitement des poussées, prescrit seulement lors de celles-ci, associe repos et corticoïdes à fortes doses pendant une durée courte. Il permet une récupération plus rapide. Les corticoïdes sont délivrés par voie intra-veineuse, ce qui nécessite une hospitalisation de quelques jours ou de plusieurs jours consécutifs dans le cadre d’une hospitalisation de jour. Le traitement de fond a pour objectif de ralentir l’évolution de la maladie et de diminuer la fréquence et l’intensité des poussées. Il existe plusieurs traitements de fond les médicaments immunomodulateurs, qui modifient certains aspects de l’immunité du système nerveux central, dans le but de prévenir l’inflammation à l’origine des poussées. Les interférons bêta sont les principaux d’entre eux, dont il existe trois formes en France Avonex, Betaferon, Rebif. Ils sont donnés de plus en plus tôt. Certains patients sont aujourd’hui traités depuis plus de 10 ans et le supportent bien. Un autre traitement fréquemment utilisé est l’acétate de glatiramère Copaxone.les médicaments immunosuppresseurs, plus agressifs, proposés lorsque la maladie a tendance à évoluer malgré un traitement immunomodulateur. Ces médicaments sont représentés par l’Endoxan, la mitoxantrone et plus récemment le natalizumab Tysabri. Leur prescription est soumise à une surveillance attentive. Aujourd’hui, tous les traitements de fond sont appliqués par voie injectable. Les recherches thérapeutiques en cours dans le monde entier laissent espérer la mise au point de traitements de fond prescrits par voie de comprimés, dans un avenir relativement proche. Les traitements symptomatiques sont extrêmement nombreux, à l’image de tous les symptômes qui peuvent être rencontrés au cours de la SEP. On peut citer les médicaments contre les douleurs neuropathiquescontre les raideurs des membresdestinés à stabiliser les troubles urinairesdestinés à lutter contre la fatigue qui gène souvent les personnes atteintes de SEPantidépresseurs Il existe également de nombreux traitements symptomatiques non médicamenteux. Le plus utilisé est la kinésithérapie, qui vise à maintenir l’autonomie lorsque la progression de la maladie risque d’entrainer un handicap moteur. Accueil Hauts-de-France Boulogne-sur-Mer Sur le site de l’hôpital Duchenne, un nouveau centre de rééducation, couplé à un pôle d’addictologie, a vu le jour dans un bâtiment à l’architecture moderne. Doté d’un matériel de pointe et d’une équipe pluridisciplinaire de soignants. Le but est d’aider le patient à retrouver de l’autonomie. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 18h56 International Video Polémique en Finlande critiquée pour avoir fait la fête, la Première ministre accepte de passer un test anti-drogue 18h51 RC LENS Direct DIRECT. Lens frappe un grand coup à Monaco 1-4 17h26 France Emmanuel Macron attendu jeudi en Algérie pour notamment poursuivre le travail d’apaisement des mémoires» 17h05 International Video Trains, bus métros le Royaume-Uni paralysé depuis trois jours par une grève massive face à l’inflation 16h08 International États-Unis les strip-teaseuses de Los Angeles poussent pour obtenir le droit de se syndiquer Toute l'info en continu >

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