France2 rediffuse à 23 h 40 son épisode de l’émission « Un jour un destin » consacré à Bernard Tapie, « L’aventure c’est l’aventure BernardTapie - L'aventure c'est l'aventure - Un jour, un destin - Documentaire complet 24,920 views Jun 26, 2022 On connaît Bernard Tapie depuis plus de trente ans. Mais qui 299 Unjour, un destin est une série télévisée créée en 2007, , découvrez tous les détails de cette série sur bdfci.info Lepremier débat télévisé entre les deux hommes, en 1989 sur TF1, est ainsi resté dans les annales. Qualifié de "matamore", de "grotesque" puis de "pitre" par le patron d'alors du FN, Bernard Tapie, qui s'était proposé au débotté pour venir l'affronter, ne se démonte pas.Au contraire : il réplique sur le même terrain. Dans cet extrait de l'émission de France 2 "Un jour un destin Lamaladie, la prison ou même le football, de nombreux sujets ont été abordés entre Bernard Tapie et ses élèves du jour. Et quand un petit garçon de 9 ans a évoqué sa greffe de rein face Cejour-là, à l’entame de la dernière partie de sa vie, Bernard Tapie, mué en patron de presse, était venu faire étalage de son ambition au s Se connecter 22°C Mardi4 janvier 2011 à 22:15, Laurent Delahousse présentera sur France 2 un nouveau numéro du magazine “Un jour / un destin” qui sera consacré à Bernard Tapie. BernardTapie embrasse Rama Yade lors d’un dîner du Parti radical, le 9 décembre 2010 — Photo Sébastien Calvet/Divergence. Le destin électoral de Bernard Tapie s’est en fait terminé à la fin 1994, comme une illustration parfaite de sa vision cynique de la politique. Al'occasion de la diffusion de l'émission Un jour un destin consacrée à Bernard Tapie dimanche 19 novembre 2017 sur France 2, Télé Star vous propose de découvrir qui sont les femmes qui ont France2 rediffuse à 23h40 son épisode de l'émission "Un jour un destin" consacré à Bernard Tapie, "L'aventure c'est l'aventure". La chaîne S3DOx. La mort de Bernard Tapie, des suites d’un double cancer de l’œsophage et de l’estomac, a été annoncée ce dimanche 3 octobre 2021 en matinée. Retour sur son parcours dimanche 3 octobre 2021, à 8h40, Bernard Tapie s’est éteint auprès des siens dans son domicile parisien, à l’âge de 78 ans. L’ex-homme d’affaires, qui a tant fait parler au cours de sa carrière, était atteint d’un cancer depuis 2017, un combat gagné par la maladie après quatre années de lutte. Entrepreneur, acteur, politique, animateur, sportif, Bernard Tapie avait mille et une facettes à son actif. Toutelatele va s’attarder sur celle qu’il avait dédiée au petit écran. De Gym Tonic à Ambitions Une image de Bernard Tapie restera marquée à jamais dans l’histoire de la télévision celle où il est convié dans l’émission culte Gym Tonic à suivre les exercices de Véronique et Davina devant une salle comble de sportifs amateurs. Nous sommes le dimanche 17 juin 1984, il est 10h30 sur Antenne 2. Bernard Tapie, alors sacré homme de l’année, en profite pour distiller des conseils sur le full-contact qu’il pratique pour déstresser. Puis, son destin télévisé va se jouer sur TF1. Avant même la privatisation où il sera actionnaire de la chaine aux côtés de Bouygues, Bernard Tapie est propulsé en prime time avec un show hors normes au titre tout prédisposé à l’homme, Ambitions. Le vendredi 28 février 1986, en direct de Bercy, l’homme d’affaires met en avant une jeune entrepreneuse et lui fait franchir différentes épreuves en compagnie de grands noms pour faire aboutir son projet. Pour cette première, Fabienne Vernon présente ainsi son idée de lombricompost. Ambitions est entrecoupé de variétés, et c’est un succès. Trois autres numéros suivront. À cette même période, il se met en scène dans un spot publicitaire vantant la marque qu’il vient de reprendre les piles Wonder, avec le slogan Je marche à la Wonder ». Personnalité médiatique, Bernard Tapie laisse derrière lui de vives joutes télévisées avec des hommes politiques comme Jean-Marie Le Pen. À chaque fois, des records d’audience explosent, les téléspectateurs attendant l’affrontement. 7 sur 7, L’heure de vérité et beaucoup d’autres émissions politiques le recevront. Incontournable, Bernard Tapie l’est également dans le Bébête show sur TF1 grimé en taureau, ou encore l’arène des Guignols de l’info sur Canal+ avec la voix d’Yves Lecoq. TF1 A tort ou à raison et Commissaire Valence Au tout début des années 2000, Bernard Tapie relance sa carrière télévisuelle et accepte d’animer Rien à cacher, une sorte de 7 sur 7 le dimanche à 19 heures, où il reçoit une personnalité en face à face sur la chaine du câble et du satellite RTL9. Cette nouvelle exposition lui permet de revenir sur TF1 avec un format similaire baptisé A tort ou à raison qui se limitera à une saison, faute d’une audience jugée suffisante. En parallèle, il investit la fiction, toujours sur TF1, en devenant le médecin militaire Cazas, le lundi 17 décembre 2001, aux côtés de Macha Polikarpova, une des héroïnes des Mystères de l’amour. Si cet unitaire n’a pas de suite, son succès, avec millions de téléspectateurs au rendez-vous, a donné des idées à la chaine. Quelques mois plus tard, il se glisse dans la peau du Commissaire Valence. Calqué sur un Navarro qui arrive en fin de parcours, la série vivra un parcours tumultueux avec un coup d’envoi devant plus de 9 millions de Français en janvier 2004 avant un effondrement suite à une programmation chaotique. Des inédits seront même diffusés en pleine nuit. À sa manière, Bernard Tapie aura marqué le petit écran à travers différents exercices de style, avec le plus souvent, comme dénominateur commun, de belles audiences au rendez-vous. Les hommages TV Ce dimanche 3 octobre 2021, certaines chaines ont choisi de bouleverser leurs programmes afin de saluer la mémoire de Bernard Tapie. Ainsi, C8 mettra à l’antenne à 19h20, le documentaire Bernard Tapie, le combattant en lieu et place de son magazine M comme Maison. BFMTV rediffusera Tapie, les matchs de sa vie à 20h50. Ce numéro de Ligne rouge lui avait valu un coup de gueule en direct sur le plateau de Bruce Toussaint en janvier 2020, estimant n’avoir jamais vu une horreur pareille ». De son côté, M6 changera le sommaire de son magazine Enquête exclusive et diffusera le documentaire Bernard Tapie, le dernier aventurier, à suivre à 23h10 avec Bernard de la Villardière. Au même moment, France 2 proposera Un jour, un destin dédié à la vie de l’homme d’affaires, à suivre à 23h40 en lieu et place de Passage des arts. Enfin, ce lundi 4 octobre à 20h50, Paris Première rediffusera la pièce de théâtre de 2012, Les montagnes russes avant d’enchainer à 22h35 avec un numéro de 2004 de 93, faubourg Saint-Honoré, spéciale Vieux port de Marseille ». L'homme d'affaires a démenti soutenir l'ancien ministre s'il se présentait en 2017. "Il n'a pas le niveau, aujourd'hui, pour diriger la France", estime-t-il. POLITIQUE - Un "type qui écrit de très bons livres de cuisine", mais qui "ne fait pas encore la bouffe". C'est en ces termes que Bernard Tapie a décrit, mardi 25 octobre au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, le presque candidat à l'élection présidentielle Emmanuel Macron, à qui il ne prête pas encore l'étoffe d'un président de la République. "Pour faire la bouffe, il faut aller en cuisine puis gagner ses étoiles", explique Bernard Tapie, rappelant qu'Emmanuel Macron est resté deux ans à Bercy. L'homme d'affaires dément d'ailleurs avoir accordé son soutien, à l'approche de l'élection présidentielle, au fondateur du mouvement "En marche!". "C'est un type brillantissime ... Ce sera un candidat, c'est absolument certain, crédible", estime-t-il. "Mais s'il brûle les étapes, il va se faire balayer", juge celui qui a lui-même été ministre sous François Mitterrand. "Prends ton temps mon gars!", conseille-t-il à l'ancien ministre de l'Économie. Macron, pas encore pilote de 747 "Il n'a pas le niveau, aujourd'hui, pour diriger la France. Ca ne s'apprend pas. Vous ne passez pas du statut de 'je suis pilote de Jodel' un petit avion de tourisme, ndlr à 'je passe sur un 747'", dit encore Bernard Tapie. En avril, l'homme d'affaires confiait au journal L'Express qu'Emmanuel Macron avait "toutes les qualités pour être président", lui conseillant de commencer par s'attaquer à la mairie de Marseille. "Maire de Marseille, pourquoi pas? Il est venu devant des chefs d'entreprise, il a fait un tabac, ce fut un festival! Mais il ne faut pas dire aux gens qu'on est là uniquement dans une stratégie présidentielle", racontait Bernard Tapie. Condamné à rembourser quelque 400 millions d'euros après l'annulation de l'arbitrage dans l'affaire du Crédit Lyonnais, l'homme d'affaires a présenté à la presse le 20 octobre un plan contre le chômage des jeunes, menaçant de prendre "les initiatives politiques appropriées" s'il n'était pas écouté. "Je ne suis candidat à rien", assure Bernard Tapie en préambule du document. Mais si ces propositions "ne rencontrent aucune attente politique et ne reçoivent aucun écho, alors, et alors seulement, je prendrai les initiatives politiques appropriées". À voir également sur Le HuffPost Les obsèques de Bernard Tapie ont été célébrées ce vendredi 8 octobre à la cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille. "Sa vie, comme chacune des nôtres, ne peut se résumer à un simple trait de plume, et elle échappe aux étiquettes qui classent et qui condamnent", a rappelé Mgr Aveline, archevêque de Marseille, en prononçant l' dans une cathédrale Sainte-Marie-Majeure comble que les obsèques de Bernard Tapie ont été célébrées à Marseille, ce vendredi 8 octobre. Famille, personnalités, footballeurs et anonymes, ils sont venus nombreux assister au dernier adieu de l’homme d’affaires et ancien président de l’Olympique de Marseille, décédé des suites d’un cancer. Mgr Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, a salué dans son homélie un homme de foi » aux fortunes diverses » et aux incontestables talents, dévoré d’un insatiable appétit de vie », tutoyant aussi bien les sommets que les abîmes, les salons du pouvoir que les cellules des prisons. »Chers amis,C’est donc à Marseille, sa ville de cœur », que Bernard Tapie a souhaité reposer après sa longue lutte contre la maladie et les multiples combats qu’il a livrés tout au long de sa vie. Hier, en sortant de l’église de Saint-Germain-des-Prés, à Paris, vous disiez à la foule, cher Nicolas, Maintenant, place à l’hommage à la maison, à Marseille. Je le ramène chez lui ». Et vous l’avez ramené, d’abord au Vélodrome, qui est redevenu son stade hier soir, puis maintenant dans cette Cathédrale, où bat le cœur chrétien de Marseille, face à la mer et à la Bonne Mère, avant de l’emmener tout à l’heure à Mazargues, au bout de ce Prado qu’enflamment de match en match les clameurs du Bernard Tapie a choisi notre ville pour y établir sa dernière demeure, c’est parce qu’il l’aimait profondément. Et Marseille le lui rend bien ! Il aimait cette ville parce qu’elle lui ressemblait populaire et libre, fière et rebelle, tendre et violente à la fois, accueillante à tous ceux que la vie a meurtris, exubérante, certes, mais pour mieux cacher sa pudeur. Entre Marseille et lui s’est ainsi tissée une secrète et fidèle complicité qui éclate au grand jour depuis l’annonce de son décès. On pourrait dire de Marseille ce que Bernanos disait de la France Nous sommes un peuple que le malheur n’endurcit pas ; nous ne sommes jamais plus humains que dans le malheur. Voilà le secret de la faiblesse inflexible qui nous fait survivre à tout ». Alors ce matin, le peuple de Marseille est là, présent et recueilli, triste et fier à la Tapie n’était pas un saint, loin de là ! À l’aune de ses fortunes diverses et de ses incontestables talents, dévoré d’un insatiable appétit de vie, il a tutoyé aussi bien les sommets que les abîmes, les salons du pouvoir que les cellules des prisons. Sa vie, comme chacune des nôtres, ne peut se résumer à un simple trait de plume, et elle échappe aux étiquettes qui classent et qui condamnent. Pour lui comme pour nous, la mise en garde du Seigneur, entendue tout à l’heure dans l’Évangile, s’avère des plus précieuses Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés, ne condamnez pas et vous ne serez pas condamnés » Lc 6, 36. Derrière tous les masques et les théâtres de ce qu’on appelle réussite, derrière les vanités de la gloriole humaine et des honneurs éphémères auxquels il lui est arrivé de sacrifier, plus souvent qu’à son tour, il y eut les épreuves, et notamment la dernière, celle de la maladie. Au cours de ce dernier combat, le courage dont Bernard Tapie a fait preuve pour regarder la mort en face et continuer jusqu’au bout de croire en la vie, a révélé l’homme de foi qu’il avait toujours été, depuis que sa mère, Raymonde, le conduisant au baptême, avait éveillé son cœur au respect de Dieu et au désir d’être toujours fidèle à ce vie de Bernard Tapie a sa part d’ombre, c’est vrai, qui pourrait le nier ? Il était né dans le tiroir d’en bas », comme il se plaisait à le dire, et avait voulu monter au plus haut, mais pas tout seul. Tel était, peut-être, son secret celui qui ne se bat que pour lui-même n’arrive à rien. Le respect de Dieu ne va jamais sans l’amour des autres. C’est vrai, mais personne, exceptés les saints, n’arrivent à vivre à la hauteur de ces beaux principes. Bernard Tapie n’y est pas arrivé, loin de là, même s’il a essayé. Tout à la fin de sa vie, il a demandé pardon pour le mal qu’il avait commis et le bien qu’il aurait pu faire mais qu’il n’avait pas fait. J’ai passé ma vie à avoir besoin des autres », confiait-il un jour à Franz-Olivier Giesbert. Pour lui comme pour nous, la mise en garde du Seigneur, entendue tout à l’heure dans l’Évangile, s’avère des plus précieuses “Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés, ne condamnez pas et vous ne serez pas condamnés”Et vous, Dominique, son épouse, vous ses enfants et ses petits-enfants, vous étiez les premiers de ces autres avec lesquels il a mené tous ses combats, surtout le dernier, contre le cancer. Mais aussi Zora, que vous aviez hébergée et accueillie, dans la discrétion, quand elle luttait elle aussi contre la maladie. Mais aussi tant de gens, de tous milieux sociaux, croisés au détour d’une vie insatiablement relationnelle. Et comment ne pas évoquer ce matin, en cette Cathédrale, les joueurs et les supporters de l’Olympique de Marseille, tous ceux qui, avec lui, avaient retrouvé le chemin de l’espoir et réussi à réaliser leurs rêves. Cette fierté, ils ne l’ont pas oubliée. On dit souvent qu’à Marseille, quand l’OM va, tout va ! Car ici, on sait que la force d’une équipe ne vient pas des milliards que certains injectent dans d’autres grands clubs. La force vient du peuple, qui aime jouer au ballon et qui pousse son équipe vers la victoire, parce que chacun puise dans cette communion la force d’affronter les réalités parfois difficiles de sa à Marseille, au-dessus du stade, il y a la Bonne Mère ! Elle veille sur tous les Marseillais, ceux qui aiment le foot et ceux qui préfèrent autre chose, ceux qui habitent sur terre et ceux qui travaillent en mer, ceux qui connaissent le Christ et ceux qui ne le connaissent pas, ceux qui sont croyants et ceux qui ne le sont pas. Dans ses bras ouverts vers chacun des enfants de Marseille, elle tient son Fils, le Seigneur Jésus Christ. Lui, le Fils de Dieu, est venu nous dire la force invincible de l’amour dont Dieu aime le monde et chacun d’entre nous. Il ne l’a pas fait de manière tonitruante, par des déclarations solennelles ni par des tours de magie. Non ! Il l’a fait en venant partager avec nous la vie ordinaire. Trente ans ouvrier menuisier, dans l’atelier que son père Joseph tenait dans la petite bourgade de Nazareth, en Palestine. Trente ans à partager les joies et les tristesses, les espoirs et les tristesses des hommes et des femmes de son pays. Peut-être que si le foot avait existé de son temps, il aurait été milieu de terrain », pour apprendre à son équipe à jouer collectif ! Mais sa mission, bien plus profonde, était de nous révéler la miséricorde de Dieu et de nous encourager à faire le bien Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez et vous serez pardonnés » Lc 6, 36-38. Au soir de notre vie, c’est sur l’amour que nous serons jugés », disait saint Jean de la Croix. Alors on peut méditer ce passage de la lettre de saint Paul aux Romains, que Grégoire nous a lu tout à l’heure Que l’amour soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur ; attachez-vous au bien. […] Soyez joyeux dans l’espérance, patients dans la détresse, persévérants dans la prière. […] N’ayez pas le goût des grandeurs, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. […] Ayez à cœur de faire le bien devant tous les hommes » Rm 12, 9-12. Sur sa table de chevet trônait une statue de la Vierge de la Garde. La meilleure façon pour nous de l’accompagner, c’est de redire avec lui et avec tous les croyants cette prière toute simple que tant de Marseillais récitent, dans le secret de leur âme, en montant sur la colline, afin de confier ce qu’ils ont dans le cœurChers amis, ce programme est exigeant et nul d’entre nous ne peut prétendre l’accomplir. Car nous sommes tous des pécheurs et nous devons demander pardon pour nos péchés. Prions donc ce matin pour le repos de l’âme de Bernard Tapie. C’est avec Dieu maintenant, qu’il doit relire sa vie, ses ombres et ses lumières. Dieu seul jugera. Nous, nous pouvons seulement demander au Seigneur d’avoir pitié, de lui et de nous ! Son ultime combat a été l’occasion pour lui de proclamer la foi qui l’animait. Mon premier geste en me levant le matin est de me mettre à genoux et de prier », confiait-il. Bien loin de moi l’idée d’en faire des gorges chaudes la foi est un secret intime. Mais son désir d’en parler n’était pas une impudeur médiatique. Il traduisait simplement sa certitude que l’amour est éternel et que même la mort ne peut rien contre sa table de chevet trônait une statue de la Vierge de la Garde. La meilleure façon pour nous de l’accompagner, c’est de redire avec lui et avec tous les croyants cette prière toute simple que tant de Marseillais récitent, dans le secret de leur âme, en montant sur la colline, afin de confier ce qu’ils ont dans le cœur, des joies ou des épreuves, des remerciements pour les événements heureux de leur vie, ou des demandes d’aide pour traverser les moments douloureux, pour eux-mêmes ou pour leurs proches. Cette prière, qui fut la dernière de Bernard Tapie, elle est toute simple, et ceux qui le veulent peuvent la dire avec moi, à haute voix ou dans leur cœur Je vous salue Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Amen ! » + Jean-Marc AvelineArchevêque de Marseille

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